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Toutes les choses extraordinaires que j’ai faites et vues en 2019 après J.C. !

Bonjour les amis et, avec un peu de retard, bonne année !

J’espère que vous avez tous passé de joyeuses, heureuses et très bonnes fêtes de fin d’année. Je n’en doute pas !…

Tout va bien. Commençons l’année… avec une petite rétrospective.

Comme je le fais souvent sur mon blog à cette époque de l’année, voici le résumé de 2019 : faits, chiffres, pays, vols, séjours, volcans, excursions, monastères, promenades, treks et bien d’autres choses. Waouh, c’est déjà mon sixième article (2014, 2015, 2016, 2017 et 2018) !

Mais… pourquoi est-ce une habitude ?

Il est certain que c’est un peu pour me faire plaisir, surtout lorsque j’aborde certains aspects comme le nombre de voyages que j’ai faits ou d’autres statistiques. J’ai la chance de découvrir des lieux très intéressants et de vivre des choses passionnantes ce qui, je le pense, intéressent sans aucun doute certains de mes lecteurs. Vous n’avez peut-être pas lu tous les articles que j’ai publiés cette année (puisqu’il y en a un certain nombre). Par conséquent, il serait certainement intéressant de mentionner rapidement les grands succès de cette année (y compris mon début d’année dans les montagnes équatoriennes dans une piscine thermale à quelques 3600 mètres d’altitude). Du moins je l’espère. Bon, j’arrête de me justifier et on y va…

Voici les eaux thermales équatoriennes dont je parlais :

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Des monastères perchés sur des falaises.

Oh non ! Je dois ajuster mon Top 100 des lieux incontournables à visiter dans le monde et faire un Top 101 ! Ce n’est pas franchement un chiffre rond, mais qu’est-ce que je peux y faire ? Le besoin m’appelle…

Mais quel est donc ce besoin si pressant ? Il s’agit des Monastères des Météores en Grèce, « une formation d’immenses colonnes et collines monolithiques tels d’énormes rochers arrondis qui surplombent les environs ». Les falaises abruptes culminent à 600 mètre de hauteur, toutes avec différentes nuances de gris, où les monastères juchent sur les cimes des rochers.

 

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La diversité en Asie : un mélange de contrastes.

Tous les pays et ses habitants sont différents. Je pense qu’on est tous d’accord là-dessus. Certains pays et individus diffèrent plus ou moins les uns des autres. L’histoire, la religion, les traditions, les coutumes, le travail. Tous possèdent divers grades de différence. Celles dans le travail peuvent s’étendre d’une extrémité à l’autre – de la libéralité et de la liberté d’entreprise jusqu’à la stricte et extrême régulation de l’Etat. Vive la différence ! Mais ce degré de diversité peut varier d’une région à une autre…

Prenons l’exemple de l’Europe. Ou de l’Amérique Latine. Au sein de ces régions, les pays bien évidemment diffèrent, mais si on prend du recul et qu’on considère les régions comme un ensemble, nous voyons qu’il y demeure tout de même de nombreuses ressemblances. Ce n’est pas le cas néanmoins pour une région dans le monde : l’Asie. Le problème est qu’il y a de nombreuses personnes extérieures à l’Asie qui ne s’en rendent pas compte et font l’erreur de penser que l’Asie dans son ensemble est similaire à l’Europe par exemple. C’est faux. Les pays asiatiques diffèrent les uns des autres, beaucoup plus que la France et l’Allemagne, ou le Paraguay et le Pérou. Même le Brésil, les Etats-Unis et l’Espagne se ressemblent plus que l’Inde, la Corée du Sud et l’Indonésie. En Asie, les choses sont beaucoup plus contrastées. Ce qui la rend d’autant plus intéressante…

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J’ai été agréablement surpris de la diversité des paysages, traditions, et des rituels dans le monde des affaires en Asie. Même les choses les plus banales s’avèrent étrangement cools ; par exemple la façon dont on fait la connaissance de quelqu’un et de s’échanger les cartes de visite. Oui, j’aime tout simplement l’Asie pour sa diversité et ses différences.
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De la Corée à la Suisse avec Turkish Airlines.

Quel long vol l’autre jour nuit ! Nous sommes restés 11 heures dans les airs !

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En regardant la trajectoire du vol, je me suis demandé pourquoi elle était aussi droite. Si on avait volé via le sud de la Sibérie, le trajet aurait été plus court d’au moins deux heures. Est-ce parce que Turkish Airlines ne veut pas payer les taxes de survol russes ? Ou est-ce pour des raisons géopolitiques ? Ces suggestions mènent à d’autres questions :

  1. Sur le vol Séoul-Istanbul, combien de kilomètres économiserait-on si on volait en direction du nord, et combien de minutes voire d’heures aurait-on économisé ?
  2. Combien coûterait la taxe pour un Boeing 777 de traverser la Russie depuis la frontière avec le nord-est de la Mongolie jusqu’à Novorossiysk (sur le côté opposé de la Mer Noire face à la Turquie) ?
  3. Ou est-ce tout simplement une question de géopolitique fondée sur des « principes » ?

Personne ne connaît les réponses ?
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EN VISITE À SÉOUL.

Je prends rarement le métro, où que je sois dans le monde. Mon modus operandi habituel est le suivant : avion – voiture – hôtel (ou chez moi) –  voiture – bureau – voiture – hôtel (ou chez moi) – voiture – avion…  J’ai plus l’habitude d’emprunter les navettes que les gens prennent pour aller à l’aéroport, mais le métro, jamais.

Mais l’autre jour à Séoul, quelqu’un a suggéré de prendre le métro. La station la plus proche était à 200-300 mètres de notre hôtel, après tout pourquoi pas ?

Qu’est-ce que je peux dire ? Même si je connais bien le métro monumental de Moscou qui passe juste en dessous de chez moi, je dois dire que le métro métropolitain de Séoul est impressionnant. Nouveau, moderne, soigné, propre, confortable et imposant. Bien qu’il ait été seulement ouvert en 1974, il est deux fois plus grand que le métro de Moscou, et une fois et demi de plus que celui de Londres. Ouah. Le moins qu’on puisse dire c’est que les Coréens savent creuser :).

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Tokyo – Séoul.

Cette fois au Japon, pas de temps pour un Top 100, ni pour une excursion, ni une promenade… et encore moins pour faire une pause. Mon séjour s’est résumé à des conférences, meetings, interviews et autre shigoto (仕事), comprenez ici de travail.

Avant de me rendre cette fois dans le pays du soleil levant, j’espérais que la cadence serait moins intense que d’ordinaire, avec plus de liberté pour contempler tranquillement les paysages historiques et naturels, laisser place à des promenades méditatives le soir, admirer les cerisiers en fleurs, etc. Eh bien, plus mon séjour avançait, et plus je voyais mes chances de voir le Mont Fuji et Aogashima s’amoindrir, et plus le mot ‘shigoto, shigoto, shigoto‘ résonnait dans ma tête. Ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi mais… regardez ce qui est arrivé à Jack !

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Le peu de tourisme que j’ai pu faire fut une rapide balade le long de ma route préférée autour des jardins du Palais Impérial de Tokyo.


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Semi-visite du Knesset avant la Pessa’h.

Une nouvelle semaine, un autre triangle aéronautique ; cette fois : Moscou – LondresJérusalem – Moscou. Comme d’habitude : conférence, discours, réunions avec nos partenaires et nos clients. Du travail, du travail et rien que du travail… avec malgré tout un peu de temps pour faire du tourisme : une visite du Knesset.

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Le Knesset, mes amis, est le Parlement d’Israël, sans doute un des plus actifs de la planète, hétérogène et entaché par des scandales. 120 membres qui appartiennent à des positions politiques et religieuses des plus variées, avec des degrés divers de tolérance et de libéralité ; dans une certaine mesure, la plus imperturbable téléréalité politique du monde : un mélange enivrant de cette mosaïque, beaucoup plus que la société israélienne dans son ensemble… mais ça c’est une autre histoire, plus largement relayée sur Internet. En parlant de ça, j’essaierai de vous rappeler quelques histoires et incidents qu’on m’a racontés et qui se sont produits ici. Je vous en dévoilerai davantage un peu plus tard…

Hélas, nous n’avons pas pu assister à une session en direct du Parlement car nous nous y sommes rendus un jour férié. D’ailleurs, nous n’avons pas pu rentrer non plus dans le Plenum Hall (Chambre), tout le monde se préparant pour le festival de la Pessa’h (Pâque en hébreu). La grande majorité des commerces étaient fermés pour que tout soit propre et astiqué de fond en comble, afin de scintiller de mille feux pour l’importante commémoration juive. Même le bar de l’hôtel a baissé le rideau à 21h ! En lire plus :Semi-visite du Knesset avant la Pessa’h.

Londres – Tel Aviv avec British Airways : peut mieux faire.

Bien, c’est reparti…

Le réveil sonne. Où suis-je ? Hôtel, douche, valise, taxi, aéroport, enregistrement, rayon X, « petit déjeuner » (sandwich et jus de tomate) ; porte d’embarquement ; place côté hublot. Voici la première petite torture de cette journée ensoleillée… Je me suis retrouvé assis juste au-dessus de l’aile, à la fois sale et imposante (nous étions à bord d’un Boeing 777). Ça allait être un de ces mauvais jours… je ne m’étais pas trompé…

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Eh bien. Pas de vue ? Je vais donc fermer les yeux, étant donné que le vol était matinal, aux alentours de 8h du matin, une bonne excuse pour faire un petit somme durant le voyage.

Je venais de m’endormir quand soudain je me suis fait réveiller par le pilote annonçant que suite à un problème technique, nous ne pourrions pas décoller. Bouh ! Comme on dit : « mieux vaut prévenir que guérir ». Nous avons donc fait demi-tour jusqu’à notre point de départ et sommes tous descendus de l’avion en nous bousculant les uns les autres. Retour à l’aéroport jusqu’à temps qu’ils résolvent le problème.

Nous sommes restés assis pendant deux heures tandis qu’ils étaient en train de retirer la partie défectueuse de l’avion afin de la remplacer par une nouvelle. Au moins, ils avaient la pièce de rechange sous la main, ai-je pensé.

Nous avons repris place à bord du Boeing, guidés par l’équipage de British Airways quelque peu brusque et aux accents étranges. En lire plus :Londres – Tel Aviv avec British Airways : peut mieux faire.

Un autre semi-marathon de Londres.

Salut mes amis !

C’est parti pour une balade le long de la Tamise. L’autre jour, vous avez eu un aperçu de notre première enjambée lors de notre journée de marche (télécabine + Greenwich et l’arrivée au navire Cutty Sark) ; maintenant place à la seconde étape.

Après le Cutty Sark, nous sommes tombés sur l’entrée du tunnel piéton de la Tamise que l’on avait emprunté A.B et moi la semaine dernière. Mais pas pour cette fois-ci…

… Cette fois, nous n’avons pas tourné à droite direction le tunnel, nous avons préféré filer tout droit le long des berges de la rivière. On s’est dit pourquoi pas : après tout, le parcours était agréable et plat, il y avait des choses à voir, le soleil pointait le bout de son nez… si bien que les nuages valaient la peine d’être photographiés. Pas de tunnel pour aujourd’hui donc….

 

Et un deux trois, un deux trois… nous parcourons les rues encore et encore…

… Peu de temps après, nous sommes tombés sur quelque chose de complètement inattendu qui nous a scotchés… une statue de Pierre le Grand, oui, on parle bien de ce Pierre, Pierre Ier, le Tsar de l’Empire russe de 1682 à 1721. Londres réserve toujours son lot de surprises ! Et celle-ci en était une de taille !

Les rives de la Tamise sont très agréables si on marche du bon côté du bord, et c’est justement là que nous nous trouvions aujourd’hui. Vous pouvez marcher non-stop le long de la digue, parfois vous devrez faire un détour, souvent à travers de vieilles ruines industrielles et zones portuaires. Je ne voudrais pas ternir l’image moderne et glamour de Londres mais comme je l’ai dit, rien d’extraordinaire. Plus de surprises… l’art post-industriel :

ENCORE une surprise : une ferme ! Non, SÉRIEUSEMENT ! En plein cœur de Londres. Des canards, des poules, des chèvres, des cochons, des jardins potagers, un vrai fermier et sa femme ! Il s’agit d’une ferme « en plein air », où les enfants de la ville s’y rendent pour se faire une idée de la vie à la campagne. La ferme fait aussi office de bistrot, ce qui sous-entend qu’il y aura de « l’agneau frais » au menu. Des chèvres dans le quartier d’affaires Canary Wharf en arrière-plan : c’est surprenant !

Yes, this is #London // Да, это #Лондон

A photo posted by Eugene Kaspersky (@e_kaspersky) on

 

Ci-dessous The Shard

Autre détour dans l’arrière-pays londonien et autre surprise : des cerisiers britanniques en pleine floraison !

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Au fur et à mesure qu’on avançait, on observait de plus en plus de vues monumentales et « centrales »…

Hmm, je me suis déjà rendu par ici, mais de l’autre côté.

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Encore et encore…le long des fameux points d’intérêt de South Bank

C’est moi, où ce bâtiment manque foncièrement de gaieté ?

C’est tout pour aujourd’hui. Nous avons assez marché et fait de photos pour la journée. Nous sommes venus jusqu’ici de tout là-bas :

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Nous sommes allés jusqu’aux ponts Golden Jubilee Bridges.

Au total, nous avons parcouru 25 kilomètres. Pas mal du tout :).

Laissez-moi faire le calcul. La dernière fois, nous avions marché de la barrière de la Tamise, au bord de la rivière jusqu’au Cutty Sark.

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Cette fois-ci : de Cutty Sack jusqu’aux Jubilee Bridges.

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Serons-nous encore capables de marcher demain ?…

Toutes les photos de Londres sont ici.

De la Tamise à Greenwich.

Quoi de neuf mes amis ?

J’étais à Londres toute la semaine pour affaires : deux discours de conférence ; interviews, déjeuners d’affaires, tout s’est déroulé dans les règles de l’art. Et pour ne pas déroger à mon rituel habituel, une petite visite guidée était de mise. L’autre jour, j’ai eu la chance de terminer tout le travail que j’avais à faire pour la journée avant le déjeuner, laissant place à une après-midi de détente. Ce matin, j’ai donc enfilé mon bon vieux jean « indémodable », mis mes baskets dans mon sac pour les mettre ensuite à la place de mes chaussures du boulot, et hop c’est parti pour la découverte de l’Angleterre de fond en comble :).

Comme je l’ai dit auparavant, la matinée de travail s’est résumée à une conférence au Cloud Expo Europe, qui s’est tenue dans l’immense centre de congrès ExCel London, juste ici, dont j’ai appris plus tard qu’il se situait non loin de la Tamise, ma rivière préférée :). Donc, c’est tout naturellement que mon compagnon de voyage A. Sh. et moi-même nous nous sommes rendus au bord de la Tamise, juste après la conférence…

Depuis la salle d’exposition, nous avons mis seulement cinq minutes pour nous rendre jusqu’à la télécabine Emirates Air Line qui relie la ville à la Tamise. La dernière fois, A.B et moi l’avions déjà repérée mais n’avions pas eu le temps d’y monter. Et cette fois-ci, nous n’avons pas échappé à une escapade de courte durée et ravis d’y faire un tour, d’autant plus que le soleil était au rendez-vous. Je vous la recommande.

 

Après ce glorieux épisode aérien, retour sur terre (dans tous les sens du terme) où nous avons pu de nouveau observer la laideur des environs industriels désaffectés le long des rives de Greenwich.

Certains noms de rue illustrent très bien l’ancienne industrialisation britannique et sa puissance maritime. Exemples : Ballast QuayCrane Street et Crews Street : nul doute que ces noms sont propres aux siècles passés. Personnellement, j’ai toujours pensé qu’il y avait une face cachée plus sombre derrière toutes ces prouesses industrielles : marins ivres, bouis-bouis, femmes faciles, enfants sales, mauvaises odeurs etc. Je suppose que les rues Wasted Crew Street ou Stinky Quay n’ont pas dû transmettre les mêmes exigences de grandeur nationale et de prestige…

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…Retour à des choses plus positives… Nous sommes ici à l’Observatoire royal de Greenwich (jetez un coup d’œil sur Wikipédia à l’impressionnante (et looongue) histoire du lieu) et n’oubliez pas d’ôter votre chapeau en gage de respect lorsque vous vous y rendrez :).

La vue depuis l’observatoire :

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Le premier télescope au monde fut construit… dans un puits ! Juste ici :

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Des astronomes en herbe étudient les vestiges du télescope de 40 pieds de William Herschel.

Et une visite de Greenwich n’aurait pas été la même sans une photo du méridien !…

 

D’anciennes machines de toutes sortes pour observer les cieux :

Tous ces équipements de l’espace me rappellent un de mes récents voyages aux observatoires de Tenerife, où les choses sont un petit peu moins identiques et beaucoup plus numériques :).

Ça me fait aussi penser : « L’innovation finit toujours par payer » :

Retour au 17ème siècle au temps de l’astronomie britannique où rien n’avait jamais été fait avant les recherches avant-gardistes. En échange de tels efforts pionniers, la Grande-Bretagne selon moi, fut sans doute la première à découvrir les compétences techniques pour déterminer un emplacement exact sur les océans du monde. Cela a d’ailleurs permis à l’Empire britannique de se disperser sur les océans afin de parcourir le monde entier. Donc, comme je le disais, l’innovation finit toujours par payer, à mon humble avis. (Désormais, je ne dis pas que je suis spécialiste de l’histoire de la navigation maritime, mais je me demande encore, les choses étaient réellement ainsi avant la révolution industrielle ?)

Sur ce, je termine sur une note joyeuse depuis Greenwich. Une vue de plus depuis la colline, et retour à la Tamise :

Et retour au navire Cutty Sark. Du déjà vu… encore !

 

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Le prochain épisode évoquera une petite balade au bord de la Tamise, mais je vous en dirai plus lors de l’article qui va suivre…

Toutes les photos de Greenwich sont ici.

A bientôt mes amis !…