Faire la fête, danser, chanter… S’amuser tout simplement.

Une fois de plus, c’est déjà le dernier mois de l’année. La retenue d’eau qu’on voit depuis la fenêtre de mon bureau a gelé (des pêcheurs se sont assis dessus et leurs cannes ont fait des trous dans la glace épaisse), brrrrr, c’est glacial, ça va de soi. On entend le crépitement inquiétant des produits chimiques dégivrants sous les pieds et sous les roues, il y a des embouteillages qui semblent être plus longs que d’habitude, et il y a des jours où vous ne sortez pas le pied dehors en plein jour (le soleil se lève tard et se couche tôt). Côté affaires, décembre est aussi le mois pour faire les comptes, le bilan, l’état des lieux, pour finaliser des budgets et faire des plans pour le futur.

Donc oui, décembre peut un être un mois obscur, terne et ennuyeux. Pour nous, chez KL, il y a un évènement pour compenser tout ça. Il s’agit bien évidemment de notre fête annuelle de Noël/Nouvel An. Un évènement qui rassemble près de 2500 employés de Kaspersky Lab partout dans le monde, pour ceux qui aiment faire la fête, lâchent leurs cheveux et s’embrassent sous le gui etc. Cette année, l’évènement a eu lieu vendredi dernier.

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Infecter un ami, redémarrer des Boeing, boucher des trous sans authentification et plus encore.

Bonjour mes amis !

Voici mon nouvel article de la série « Uh-oh Cyber-Actualités« , celle où je vous tiens au courant de tout ce qui se passe de terriblement fragile et d’effrayant dans le monde numérique.

Depuis le dernier « Uh-oh », beaucoup d’actualités se sont accumulées et nécessitent votre attention. Oui, le flux de « Uh-oh » est passé de simples gouttes de ruisseau de montagne aux chutes du Niagara. Et ce flux ne cesse de s’accélérer…

En tant que vétéran de la cyberdéfense, je peux vous dire que par le passé, on parlait des cataclysmes à l’échelle planétaire pendant six mois. Tandis qu’aujourd’hui, le flux des messages est comme du saumon pendant la période du frai : surchargé ! Inutile de dire que les nouvelles de nos jours vont tellement vite, qu’on pourrait les comparer à des attaques par déni de service. « J’ai appris l’autre jour le piratage de Mega-Corporation X où tout a été volé, même le hamster du patron a été emporté par un drone ! »…

Qu’importe, puisque le nombre de cyber scandales a augmenté rapidement, par conséquent le nombre de scandales aussi. Auparavant, il y en avait trois ou quatre par blog. Aujourd’hui : sept !

Vous avez préparé le popcorn/le café/la bière ? C’est parti…

1) Infecter un ami et débloquer ses fichiers gratuitement.

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Calme absolu sur le front démilitarisé hautement militarisé.

Il s’agit d’un lieu trèèèsss étrange. Un endroit complètement isolé du reste du monde, isolé par les Hommes (et non pas isolé naturellement, comme par exemple, Kamchatka). En réalité, il est plus isolé (par les Hommes) que les centrales nucléaires de Tchernobyl ou Fukushima. Pour passer au-delà de ces collines à l’horizon, c’est complètement impossible, même théoriquement, ni même par la voie des airs. On vous tirerait dessus !

Un paradoxe absurde de paradoxes, si seulement y en avait un : ils appellent cet endroit « démilitarisé ». Il s’avère que ce lieu est un des camps les plus lourdement militarisés de la planète ! Oui mes amis, il s’agit de la zone coréenne démilitarisée, la DMZ.

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Curieuses observations. Conclusions utiles.

Après avoir séjourné un mois entier à Moscou, mon plus long séjour jusqu’à présent (même si je suis censé « vivre » là-bas :)), j’ai récemment repris ma routine habituelle, celle de ne pas rester longtemps dans un même pays. C’est bon d’être « de retour », bien qu’une pause à Moscou ne fasse pas de mal non plus. Mais je m’égare…

Qu’importe, je vis bien le fait de voyager pour affaires régulièrement, cette fois je ne me suis pas rendu à l’autre du bout du monde, mais dans un endroit non loin d’ici. Et la première chose que j’ai remarquée après avoir atterri et qui a éveillé ma curiosité, ce sont ces pancartes près de l’ascenseur des bureaux que nous avons visités :

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Un milliard sur le Cloud.

Récemment, des utilisateurs à qui rien n’échappe m’ont félicité pour le « milliard » d’éléments stockés dans Kaspersky Security Network. Merci ! Toutefois, je dois expliquer à quoi correspond ce « milliard ».

A billion items in Kaspersky Security Network

Tout d’abord, pas de panique. Il ne s’agit pas d’un milliard de choses que vous ne voulez pas sur votre ordinateur, non, il s’agit de quelque chose de différent, et c’est un peu compliqué. Laissez-moi donc commencer par quelques définitions de base :

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Bref aperçu des attaques par déni de service.

C’est donc arrivé : l’abréviation « DDoS » a fait son entrée dans le lexique, à tel point que le mot attaque par déni de service n’est pas écrit dans son intégralité dans les journaux d’intérêt général. Eh bien en réalité, certains ne connaissent pas encore ce que cette abréviation signifie, mais tout le monde sait qu’une attaque par déni de service est très néfaste pour un large panel de cibles, avec quelque chose d’important qui soudainement ne fonctionne pas, avec des employés qui se tournent les pouces dès que le réseau plante, les téléphones du support technique qui n’arrêtent pas de sonner, et des clients mécontents qui se plaignent tout le temps. Qui plus est, tout le monde sait qu’une attaque par déni de service est accomplie par des cybercriminels malveillants, mystérieux et inconnus.

Les attaques par déni de service ont évolué très rapidement, on en parlera à la suite de cet article. Elles se sont développées de façon encore plus malveillante et sont devenues techniquement plus avancées, de temps en temps elles adoptent des méthodes d’attaques complétement différentes : elles s’en prennent à de toutes nouvelles cibles, et battent de nouveaux records du monde en s’imposant comme les attaques par déni de service les plus néfastes jamais connues. Le monde dans lequel les attaques DDos se sont imposées a également évolué très rapidement. Tout devient connecté, jusqu’à l’évier de la cuisine, le nombre d’appareils « intelligents » de toutes sortes connectés à Internet dépasse désormais de loin le nombre des bons vieux ordinateurs portables et de bureau.

Le résultat de ces deux évolutions fonctionnant en parallèle (les attaques par déni de service ainsi que le paysage numérique dans lequel elles demeurent) a contribué à faire la une des médias : les botnets constitués de caméras IP et les routers Wi-Fi domestiques battant des records de taille d’attaques par déni de service (Mirai), et des attaques DDos massives contre des banques russes.

Si auparavant les botnets étaient composés d’ordinateurs zombies, ils seront bientôt faits de réfrigérateurs, d’aspirateurs, de sèche-linges et de machines à café zombies.

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Le premier « championnat mondial de cybersécurité ».

J’ai un vrai faible pour les pensées perturbantes. J’aime aussi surprendre stupéfier les gens. Et j’aime le faire en bonne et due forme. J’aime quand ils restent bouche bée, quand ils n’y croient pas, mais essayent quand même, puis arrivent à aimer, et finissent par adorer.

Ok, c’est un peu abstrait pour l’instant. Laissez-moi être un peu plus concret.

Notre dernière nouvelle éblouissante est… un jeu de simulation pour les entreprises sur la cybersécurité ! Vous n’en aviez jamais entendu parler auparavant ? C’est normal, ça n’existait pas jusqu’à présent !

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Son nom est KIPS, diminutif de Kaspersky Interactive Protection Simulation. Il s’agit d’une simulation de jeu en travail d’équipe sur la stratégie en cybersécurité, qui dure environ deux heures et qui est destinée à encourager les capacités d’analyse et d’initiative et la compréhension des mesures en cybersécurité. Je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce que Kaspersky Lab entre sur le marché des jeux, à aucun moment. Mais pourquoi ne pas tenter, après tout ? Et nous sommes partis de rien (autrement dit, sans expérience) dans ce domaine jusqu’à devenir un fournisseur de jeux à part entière en un rien de temps.

Et ce jeudi, 1er décembre, nous organisons le premier championnat mondial de KIPS !

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Un choix difficile avec peu d’alternatives.

Ok. Nous allons tenter de résoudre une tâche, non pas qu’elle soit des plus complexes, mais pas des plus simples non plus.

Cette année pour Noël, j’aimerais acquérir un nouvel ordinateur portable, un qui soit meilleur et plus solide. J’en ai déjà un depuis un peu moins d’un an, mais à cause de mon emploi du temps d’affaires et de son utilisation excessive, il tire sur sa fin. Il a l’air défraîchi et on dirait que le clavier va tomber en miettes. Donc oui, j’ai besoin d’une mise à jour…

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Mais vers quel appareil devrais-je me tourner ? Mince alors ! Par où commencer ? Ah oui, par le début : avec mes exigences…

Mes exigences d’utilisateur ne sont pas trop compliquées, là encore pas besoin d’une simple boîte de messagerie, d’Instagram, de Pokémon… Les voici :

  • Office, email, navigateur, différents éditeurs et messageries ;
  • Il doit être capable de supporter une charge de travail intensive ;
  • J’aimerais un plus grand écran que la normale (13″+);
  • Un clavier spacieux serait également utile.

Ce qui exclut tout de suite les smartphones et les tablettes et laisserait place à un ordinateur portable de taille moyenne.

Mais quel système d’exploitation choisir ? Il semblerait que la liste des options ne soit pas si longue de nos jours : Windows, Mac, Linux.

Chaque système est bon, à sa manière…

 

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Nouvelle approche des plus beaux pays du monde.

Allons à la découverte de quelque chose de complètement différent et de non-industriel. En réalité, c’est tout l’opposé, une beauté à la fois naturelle et façonnée de la main de l’Homme. Pourquoi ? Voici pourquoi…

Il n’y a pas très longtemps, quelque part (je n’arrive pas à me souvenir d’où), je me suis rappelé de cette phrase « le plus beau pays du monde ». Je n’y pensais pas trop ces derniers temps, mais il semblerait que mon inconscient en ait décidé autrement. Ah, sacré subconscient.

Quelques semaines plus tard, effectivement, j’ai été contraint de revenir sur le sujet, j’ai donc jeté un coup d’œil sur Internet, où j’ai bien sûr trouvé différentes listes de toutes choses telles que « Le Top 10/20 des plus beaux pays du monde ». Il s’est avéré… que la plupart en parlaient sans même avoir été en Amérique Latine, en Chine Centrale, au Kamchatka, ou dans les Iles Kouriles.

Je dois admettre que déterminer les plus beaux pays du monde est une tâche difficile : la beauté est subjective, ce qui signifie que les critères le sont aussi. Je veux dire quels critères devraient ou pourraient être pris en compte ?

Eh bien, je peux vous donner un aperçu, avec mon Top 100 des lieux incontournables à visiter dans le monde. Grâce à cette liste, vous (dans ce cas je) pouvez calculer les niveaux de beauté… mais en tenant compte des tailles des territoires ! Dans ce cas, nous nous penchons sur « l’ensemble le plus beau » au lieu de la « quantité des beaux endroits dans un pays en particulier ».

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Bonnes nouvelles de Chine.

Bonjour tout le monde !

S’il y a bien une chose que j’ai apprise, c’est que la vie n’est pas figée, loin de là !

Alors que j’étais assis dans mon bureau à regarder la neige tombée par la fenêtre, pendant ce temps-là en Chine, dans la ville de Wuzhen, avait lieu comme chaque année la World Internet Conference (à laquelle j’avais assisté l’an dernier). Cette année, les organisateurs ont décidé de récompenser les meilleurs (selon eux) projets informatiques. Et devinez qui figurait parmi les vainqueurs ?!

Félicitations à tous les membres du projet ! Notre solution de protection pour les installations industrielles et les infrastructures critiques, KICS, a gagné le prix de « Réalisations scientifiques et technologiques d’Internet à travers le monde » ; aux côtés de Tesla, IBM Watson et Alibaba !

500 entreprises étaient en lice, et nous étions parmi les 15 lauréats, et le seul du domaine de la sécurité informatique.