Étiquettes des archives : volcanisme

Notre fan club a bien grandi !

Si au cours d’une conversation j’ai le malheur de dire que Kaspersky a un fan club on me demande immédiatement pourquoi. Comment se fait-il qu’une entreprise qui vend des antivirus ait un fan club ? Il y a plusieurs raisons : parce que depuis longtemps nous proposons des protections antivirus mais aussi bien d’autres choses, parce que notre entreprise est toujours très active et propose des choses amusantes et intéressantes, et enfin parce que les gens veulent s’impliquer dans les actions menées par Kaspersky même s’ils ne font pas partie du personnel. Puis c’est assez sympa d’avoir un fan club.

 

Toute cette histoire a commencé il y a 13 ans (le temps passe si vite) lorsque nous avons lancé la version 6 de notre produit et que le secteur de la sécurité informatique en a fait l’éloge. Nous publiions presque tous les jours de nouveaux apports sur notre forum et des dizaines de volontaires s’emparaient immédiatement de ce code brut mais prometteur afin de l’installer et de le tester pour comprendre son fonctionnement. Je pense qu’à cette époque leur principale motivation était la sensation que les développeurs (toute l’équipe, sans exception, suivait le forum) incluaient immédiatement les remarques qui figuraient dans les rapports de bugs et les fonctions demandées. Les utilisateurs aimaient avoir leur mot à dire sur l’apparence, le comportement et l’avenir d’un logiciel connu.

Les utilisateurs n’ont pas perdu ce pouvoir puisqu’ils peuvent encore avoir une influence sur nos produits. Tous les jours, notre département de recherche et développement teste les nouvelles versions de nos produits, désormais nombreux et très divers, sans oublier une dizaine d’applications pour mobiles. Les membres de notre fan club sont toujours impliqués dans ce processus d’évaluation. Les fans sont intéressés puisqu’ils peuvent jouer avec les derniers apports, tester les nouvelles fonctions et détecter les bugs. C’est pourquoi ils participent à ces tests des dernières versions bêta. Il est aussi assez agréable d’avoir la possibilité d’utiliser ces nouveaux produits quelques mois avant tout le monde. Nous ne nous contentons pas de remercier et de féliciter nos amis… mais nous en parlerons un peu plus tard. En lire plus :Notre fan club a bien grandi !

Week-end volcanique.

Le volcanisme. Un de mes passe-temps préférés. J’aime tout simplement escalader des volcans à travers le monde. Il y a quelque chose dans leur beauté, puissance, vandalisme, infamie, vitalité, chaleur, lave, cratère, lac… si vous voyez ce que je veux dire.

Mais il y a une chose qui peut s’avérer problématique concernant le volcanisme : vous devez normalement vous engager sur plusieurs jours (si ce n’est pas des semaines) si vous voulez faire ça dans les règles de l’art. En effet, les volcans ont tendance à être immenses, inaccessibles, et en général sont regroupés dans un seul et même endroit. Un jour, j’ai entendu parler des monts Aragats, un incontournable pour un « week-end volcanique ».

Les voici. Comme vous pouvez le voir, ils ne sont pas très loin de la capitale arménienne, on peut dont décocher la case « inaccessible » de notre liste. Ils sont grands et possèdent plus d’un sommet, de quoi faire pour un week-end :). Mais assez parlé, place aux photos :

Il s’agit d’un ancien volcan, et ça se voit : en partie en ruines au fil des millénaires ; mais c’est ce qui fait son charme après tout.

Il est doté de quatre sommets, le plus haut faisant 4090 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le voici :

armenia-aragats-volcano-7 En lire plus :Week-end volcanique.

Où se baigner à travers le monde – 2ème partie.

Très bien. On continue de nager jusqu’au prochain arrêt de bus, j’ai nommé l’Europe.

6. Mer chaude, Santorin.

Santorin est une île volcanique, ou un volcan sur une île. Il s’agit en réalité d’un cercle d’îles, qui sont les restes de la caldera d’un énorme volcan d’il y a de ça des millénaires, où se trouve au milieu un volcan encore en activité, qui de temps en temps entre en éruption et ne cesse de se développer. J’étais à Santorin récemment, où j’ai écrit pas mal d’articles à ce sujet.

world-best-swim_1

En lire plus :Où se baigner à travers le monde – 2ème partie.

Volcanique !

De retour à Tenerife. Fantastique ! Nous avions prévu une journée entière pour nous acclimater à notre séjour avant de reprendre nos affaires, il était grand temps de prendre le volant et de partir à la conquête des virages serrés sur les volcans. Tout naturellement !

Normalement, pour arriver au sommet d’un volcan, vous avez besoin de faire de la randonnée, grimper et l’escalader, parfois durant plusieurs jours (comme c’est le cas du Kilimandjaro par exemple). Il existe cependant quelques exceptions, comme le Mont Etna qu’on peut escalader premièrement via une remontée mécanique puis avec des bus spécialement équipés. Un autre exemple est celui du Mont Teide à Tenerife. Ce dernier est vraimmment fait pour les touristes paresseux.

https://www.instagram.com/p/BHRVkrVh5nD/

En lire plus :Volcanique !

Mystère minoen à Santorin.

L’île de Santorin n’est pas seulement connue pour ses vues panoramiques sensationnelles, ses couchers de soleil éblouissants, et ses plages multicolores (blanches, rouges et noires). Elle est aussi connue principalement pour son histoire dans l’Antiquité. Au sud de l’île, des fouilles de la cité antique ont été déterrées en parfait état de préservation grâce aux cendres volcaniques. Des bâtiments de trois étages, des canalisations et des égouts (!), et un aspect culturel unique. Nom de Zeus !

Pompéi vit le jour en 1500 ans av. J.-C. (et non pas il y a 1500 ans) ! Ce qui veut dire, que tous les murs, les rues, les fenêtres, les pots et les plats sont vieux de plus de 3500 ans !

En lire plus :Mystère minoen à Santorin.

Scénique, volcanique, touristique, euphorique, santorinique.

Χαίρετε mes amis !… Depuis la sensationnelle île ensoleillée de Santorin, en Grèce. Un lieu envoûtant…

Santorin est merveilleusement époustouflante dans tous les sens du terme : que ce soit au niveau touristique, climatique, volcanique, archéologique… Mais attendez une minute… Je m’y étais déjà rendu auparavant et j’étais tout autant en extase. Je ne veux pas me répéter dans ce que j’ai déjà dit, d’autant plus que rien n’a vraiment changé depuis la dernière fois, en 2013. La beauté du lieu est toujours là (à en regarder les photos ci-dessous), le soleil brille de mille feux, la mer ne s’est pas volatilisée, et les volcans ne se sont pas effondrés…

Comme je l’ai dit plusieurs fois auparavant (et comme beaucoup d’autres encore), je ne cesserai de le répéter… une photo vaut mille mots, je n’en dirai donc pas plus…

 

 

https://www.instagram.com/p/BGxJ2dSOicX/

En lire plus :Scénique, volcanique, touristique, euphorique, santorinique.

À L’ATTAQUE DU BARRANCO SAUVAGE !

La montée du mur de lave du Barranco, sur le Kilimandjaro, a été de loin le moment central de notre ascension d’une semaine du volcan le plus haut d’Afrique, après la marche finale vers le sommet via le Point Stella Artois. Grimper là en haut, c’est comme monter sur un cheval sauvage : il est très facile de se faire jeter à terre ! C’est tellement raide… C’est un mur escarpé de 300 m (ou c’est ce qu’on dirait à première impression)…

Le voici :


kilimanjaro-barranco-1


kilimanjaro-barranco-2

En lire plus :À L’ATTAQUE DU BARRANCO SAUVAGE !

LA CONQUÊTE DU KILIMANDJARO

Continuons avec quelques détails à propos de notre expédition au sommet du Kilimandjaro : photos, commentaires, impressions et corrections de quelques croyances communes, mais erronées…

Prêts, feu, go, partez !…
Jour 1 : Lemosho Gate – Mti Mkubwa.

• Altitude : 2400 m > 2800 m
• Distance : 4 km
• Vitesse moyenne : 2 km/h

kilimanjaro-gogogo-1


kilimanjaro-gogogo-2

Et c’est parti ! Ah, c’est vraiment super d’être en Afrique aux alentours de Noël. Moscou est sous 30 cm de neige, l’Europe de l’Ouest subit un temps humide, froid et triste… Quel endroit propose une meilleure alternative ? 🙂
Nous avons vécu une journée équatoriale bien comme il faut pour nous mettre au diapason de l’Afrique…

En lire plus :LA CONQUÊTE DU KILIMANDJARO

HO, HO, HO : KILIMANDJARO !

Pendant les fêtes de Noël ( » ho, ho, ho « ), qu’y a-t-il de mieux à faire que… d’escalader un volcan en Afrique ? C’est ce que je me suis demandé au mois de novembre de l’année dernière… 

Et six semaines plus tard, j’étais là : au sommet du Kilimandjaro !

 » La première étape du mal des montagnes est l’euphorie : l’individu est enthousiaste, excité, aimable, bavard… presque jusqu’au délire. La deuxième est la léthargie : la personne devient abattue, triste, blasée, silencieuse et apathique, n’a pas envie de parler et n’a pas d’appétit. « 

Ce sont les notes que j’ai prises après le discours que notre guide en Tanzania, O.R., nous a fait peu après notre arrivée dans le pays. Mais je pense qu’elle a volontairement omis l’étape suivante (elle ne voulait pas nous faire peur, après tout) ; alors laissez-moi l’ajouter : La troisième étape fatale : une dégradation rapide de l’état physique et mental… bon, comme O.R., je ne préfère pas m’y aventurer. Je vous dirai uniquement ce dont vous avez besoin si vous approchez de cette troisième étape : un masque à oxygène,  des injections de médicaments et un appel au service médical d’urgence par hélicoptère, le PLUS VITE POSSIBLE !

kilimanjaro-up-1


En lire plus :HO, HO, HO : KILIMANDJARO !

NOUVEL AN AU KILI

Bonjour à tous en cette nouvelle année !

J’espère que les fêtes se sont bien passées sans trop de dommages collatéraux et que les vacances d’hiver ont été profitables pour votre développement mental, physique et culturel. Et tout ce que l’on dit d’habitude. Mais à présent, il est temps de retourner à mes histoires, mes notes de voyage, mes rapports et mes photos.

De démarrer l’année à ma façon, en continuant tranquillement… Oui, c’est ça…

Vous devez commencer l’année en frappant fort ! Comme cela :

kilimandjaro-intro-1

Peu importe à qui je parle du Kilimandjaro : tout le monde a déjà été au sommet (la majorité) ou prévoit de s’y rendre dans un futur proche (la minorité). Il y a quelques jours, j’ai rejoint la majorité : le 31 décembre 2015, pour être précis, je me suis rendu sur le point le plus élevé du volcan. Et je suis entré dans la nouvelle année sur le Kili !

À cause des contraintes de temps et de connexion à Internet ici, vous devrez attendre pour avoir plus de détails. Pour le moment, tout ce que je peux faire, c’est me plaindre un peu en vous disant que ce type d’expédition doit être préparée en avance et très sérieusement. Ça n’a pas été facile.