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Top 100 : l’Amérique du Sud

Continuons notre tour du monde grâce à mon Top 100. Il est l’heure de voyager du côté de l’Amérique du Sud, pour découvrir ce que cette région du monde à de plus beau à nous offrir.

Elle regorge de lieux magnifiques.

18. Le Salto Ángel (saut de l’ange), au Venezuela

C’est la cascade la plus haute du monde : presque un kilomètre de chute libre d’eau. Je n’y suis pas allé moi-même, mais j’en ai beaucoup entendu parler. J’ai également vu de très belles photos.

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Nouveau Top 20 des villes dans le monde

Bonjour les amis!

Voici la suite de mon introduction sur le Top 100. Je vous présente ma nouvelle liste du Top 20 des villes dans le monde. Dans cet article, je ferai une brève description et vous montrerai les photos de mon Top 20 des arrondissements, des quartiers ou des villes du monde entier que je conseille à tout le monde de visiter un jour. Il va sans dire que je me suis rendu dans ces 20 villes, souvent même plusieurs fois, contrairement à certains endroits de ma liste principale des lieux à visiter.

Revenons un peu en arrière : sur quoi ai-je fondé mon Top 100 et maintenant mon Top 20 ?

Premièrement, j’ai utilisé mes yeux et mon instinct. J’ai la chance d’avoir un travail où je voyage au moins 6 mois de l’année. La première raison : le business. Mais pourquoi pas le mélanger avec un peu de tourisme ? C’est une bonne idée, en effet.

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Deuxièmement, dans les différents lieux que j’ai visités, j’ai rencontré des personnes très différentes et j’ai pu parler avec elles : des employés d’entreprise, des partenaire, des clients, des journalistes, des personnes de la cyber-police, parfois des ministres et même une chancelière ! La plupart du temps, si nous parlons pendant plus de quelques minutes, la conversation dévie inévitablement sur des sujets non professionnels. On parle beaucoup d’affaires courantes (un peu trop tournées vers la politique à mon goût) ou, si je suis celui qui lance le thème de conversation, de thèmes comme : « que me recommanderiez-vous de visiter pendant mon séjour à tel endroit ? ». Je suis ensuite les conseils que l’on me donne et je découvre de nombreux coins merveilleux, qu’ils soient connus ou non, et beaucoup d’entre eux entrent dans ma liste des lieux à visiter. Par exemple, les formations rocheuses colorées en Chine, le Kimberley en Australie et les falaises de Moher en Irlande.

Troisièmement, il y a bien sûr des endroits très connus, que je n’ai pas besoin de vous recommander car ils sont évidemment à voir. Par exemple, le Grand Canyon, le Taj-Mahal et les chutes Victoria. Ceux-ci sont sur la liste de lieux à voir en priorité (qui sera publiée prochainement) : tout le monde devrait y aller et admirer leur beauté ! 🙂

Quatrièmement, mes amis, mes collègues ou mes compagnons de voyage reviennent souvent d’endroits très inhabituels, cachés et éloignés qu’ils viennent à peine de découvrir. Ils sont tellement émerveillés qu’ils n’arrêtent pas de parler de la splendeur de ces endroits et qu’ils me disent que je devrais absolument les visiter. Par exemple : le Kilimandjaro, les îles Kouriles ou les temples bouddhistes dans les jungles du sud-est de l’Asie.

Cinquièmement, je découvre souvent d’autres idées sur des lieux à visiter dans la section « ajouter un commentaire » de mes articles. Je remercie de tout cœur les auteurs de ces commentaires ! Les conseils de mes lecteurs m’ont amené aux roches rouges et aux arches de l’Utah, aux Salt flats de Bonneville, à l’Antelope Canyon et aux roches dans le parc national de Zhangjiajie en Chine.

Depuis tout petit, j’ai tellement entendu de bien à propos du Kamchatka et de la République de l’Altaï que je savais qu’il fallait absolument y aller.

C’est ainsi que je me suis retrouvé avec une longue liste de lieux qu’il faut absolument visiter dans le monde entier. Un seul problème : il y en avait plus de 100. Comment ai-je donc réussi à diminuer ce nombre pour arriver à 100 ? C’est tout simple, j’ai sélectionné les lieux que je considère comme les plus beaux, les plus uniques ou les plus originaux. En d’autres termes, la liste est complètement subjective.

Certaines personnes préfèrent les arbres dans les parcs et les fleurs dans les jardins plutôt que les volcans et les geysers. Pour certains, les beautés du monde se trouvent dans les gastronomies de luxe. Pour d’autres, tout ce qui précède les laisse de marbre, tandis que les montagnes et les glaciers les fascinent. Il y a une expression qui dit : les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Je ne le ferai donc pas. Et s’il vous plaît, ne le faites pas non plus ! À la place, pourquoi ne pas créer de votre côté un Top 100 (ou 20, ou 50 ou peu importe) pour que nous puissions comparer nos notes ?

De toute façon, revenons à mon « Top plus que 100″ : au lieu d’enlever des lieux n’importe comment, j’ai décidé de diviser ce Top en plusieurs sections. Celles-ci m’ont permis de peaufiner mon Top 100 des lieux naturels et historiques véritablement uniques.

Par conséquent, je vais maintenant vous présenter mon Top 20 des villes à voir dans le monde. Dans les prochains articles de cette série, je présenterai mon  » Top  » par continent : les Amériques, l’Europe, etc.

Et après ces longues explications (!), voici mon Top 20 des villes à voir dans le monde !

Pour commencer, reconnaissez-vous les 20 villes du montage ci-dessous ?

N.B. : vous pouvez cliquer sur la photo.

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Ressourcez-vous au Japon

Fatigué après un voyage interminable, le voyageur long-courrier devient une sorte de corps d’eau lorsqu’il tente de se détendre et de passer de l’état de zombie à un état un peu plus normal. Cela passe généralement par une douche, un bain – et parfois même un bania avec ses piscines d’eau froide!

Mais c’est uniquement au Japon que nous pouvons espérer retrouver cette grande sensation de relaxation que vous offre un ryokan, et qui combine la baignade avec une expérience culinaire nécessaire pour recharger vos batteries. C’est donc l’expérience à laquelle j’ai pris part à l’Izukogen Hanafubuki Ryokan sur la péninsule Izu (伊豆), non loin du Mont Fuji au Japon.

Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est un ryokan, nous pourrions le définir comme étant un hôtel traditionnel japonais, généralement pas très grand, avec des futons sur le sol, et offrant une excellente cuisine japonaise puis, parfois, des sources d’eau chaude dans lesquelles vous pouvez vous baigner.

Cependant, si vous n’êtes pas japonais, soyez vigilants. Vous devez tout d’abord vous imprégner de la culture japonaise afin de ne pas mettre les pieds dans le plats ou ne pas faire de faux pas pouvant provoquer, au mieux, une colère ou au pire, un incident diplomatique. 🙂 Le mieux serait de visiter un ryokan en compagnie d’amis ou de collègues japonais afin d’éviter toute confusion ou incidents involontaires. Sous l’aile d’un local, vous pourrez vous sentir comme un japonais : contentez-vous tout simplement de récupérer, d’alimenter votre âme et de revitaliser votre esprit.

Et il n’y a pas que la nourriture et les sources d’eau qui influent sur le corps et l’esprit – il y a également toutes les fleurs de cerisiers qui fleurissent toujours ici, les petits chalets pittoresques, les petits chemins agréables et une grande abondance de faune et de flore. C’est vraiment très joli.

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Découverte de Singapour à travers le regard d’un novice

Salut à tous !

D.Z. est l’un des employés de KL les plus distingués et les plus respectés et il est avec nous depuis le siècle dernier (il a juste pris un court break créatif au milieu des années 2000). D.Z. a également été mon compagnon de voyage des milliers de fois… à peu près partout sur cette planète. Il emmène toujours avec lui un super appareil photo DSLR avec une douzaine d’objectifs différents – ses outils pour créer les photos les plus professionnelles possibles sur ce blog et ailleurs. Il raconte également très bien les histoires et m’aident donc avec tous les récits que je veux vous raconter – peu importe leur sujet. Malgré tous ces talents, ainsi que sa position importante au sein de Kaspersky Lab, c’est la personne la plus modeste que vous pourrez rencontrer.

D.Z. et moiM. modeste… et moi (1999)

Curieusement c’était la première visite de D.Z. à Singapour. Il a tellement aimé l’endroit qu’il a pris bien plus de photos que d’habitude et a écrit un long récit. Il est vrai qu’il n’y a rien  » de tel que la première fois « .  Il est également vrai qu’une paire d’yeux fraiche dans un pays étranger verra des choses que ceux qui y sont déjà allés plusieurs fois ne remarquerons plus. C’est pourquoi dans cet article je passe les rênes à D.Z. pour qu’il vous raconte sa  » première fois  » dans cette ville remarquable, afin que vous ayez une perspective fraîche et différente.

Mon seul commentaire sur cette histoire : si vous êtes à la recherche d’un bon livre à lire sur Singapour, jetez un œil au livre suivant :  » Du tiers monde à la prospérité  » de Lee Kuan Yew.

Voici donc le récit de D.Z. :

Que connaissons-nous sur Singapour ?

C’est très loin, chaud et humide, totalitaire, plein de gratte-ciels et on vous punit pour jeter votre chewing-gum, cracher, marcher pieds nus et aux pêchés carnaux. Du moins, je pense que ce sont les impressions stéréotypées que la majorité d’entre nous a car ce sont les éléments sur l’extraordinaire ville-État qui finissent dans les médias à travers le monde.

C’était ma première fois à Singapour.

Ce que j’ai vu de mes propres yeux a été complètement différent de ce auquel je m’attendais – rien à voir avec ce que j’ai mentionné précédemment. J’ai l’habitude de m’informer sur les pays que je vais visiter afin de découvrir le  » vrai  » pays et de ne pas me laisser enfermer dans des stéréotypes paresseux et qui pourraient même être insultants ou vexants.  Et le  » vrai  » Singapour m’a vraiment impressionné et intrigué. La première moitié du 19ème siècle est remplie de faits historiques curieux que je ne raconterai pas ici mais il est fascinant de voir comment ils sont liés à toutes sortes de détails sur les relations internationales de mon époque.

Les collisions des civilisations, le combat pour les colonies et les routes marchandes, la friction entre et au sein des puissances européennes et asiatiques, les guerres, l’injustice, les trahisons, l’avidité et autres éléments désagréables… Singapour a été bien servie. Son histoire est remplie  de récits cauchemardesques mais elle est malgré tout aujourd’hui un exemple brillant d’État prospère grâce à la coopération productive de son peuple et à sa situation géographique comme carrefour des civilisations.

Un avantage naturel de Singapour est sa situation géographique sur une route maritime stratégique qui connecte l’Asie de l’Est avec le reste du monde. Malgré la diversification miraculeuse de son économie au cours de ses 50 ans d’indépendance, en arrivant à l’aéroport de Changi il devient clair que cet avantage géographique joue encore un rôle essentiel dans le développement du pays.

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En 1819, ce fut exclusivement la géographie de l’île qui a poussé le britannique, Sir Stamford Raffles, a installé un poste de surveillance sur les bords de la rivière Singapour. En seulement quelques années, il s’agissait du pôle le plus influant de l’empire britannique en Asie.

Singapour a été fondée non pas sur une prairie déserte mais sur un village de pêche important où cohabitaient de manière pacifique différentes nationalités et religions depuis déjà plusieurs années. L’arrivée des britanniques a naturellement donné à la ville des saveurs beaucoup plus européennes. Et en parlant de saveurs, la cuisine singapourienne est devenue alors un mélange très intéressant et original : ses plats sont tout aussi savoureux qu’uniques.

Après avoir fondé Singapour, Raffles l’a quitté pendant quelques années pour réaliser d’autres missions pour l’empire et a donc passé les rênes au major-général William Farquhar pendant son absence. À son retour, trois ans plus tard,  Raffles fit face à deux développements majeurs : une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle était que la ville était bien plus active et bien plus grande. La mauvaise est qu’elle était devenue plus active et plus grande de manière inégale et ressemblait plus à un bazar qu’á une colonie exemplaire de l’empire britannique.

Un conseil municipal a donc rapidement été créé sous le commandement du lieutenant Jackson qui a très rapidement créé un plan de reconstruction de la ville de Singapour. Celui-ci était basé sur l’ethnicité des habitants  et des quartiers européens, chinois, indiens et arabes (musulmans) ont donc émergés.

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Il semblerait correct de définir Jackson comme raciste et de l’accuser d’avoir contribué à l’apartheid. Néanmoins, il s’avère que cette division fonctionnait parfaitement pour tout le monde ! Chaque groupe était content de vivre ainsi et de travailler proche les uns des autres. C’est d’ailleurs comment cela avait fonctionné pendant des siècles avant Raffles. Depuis, bien évidemment, en presque 200 ans, beaucoup de choses ont changées mais de nombreux traits du design urbain imaginé par Jackson subsistent.

Singapour dispose de deux sites incontournables : Little India et Chinatown. Devinez quelles nationalités constituent la majorité de leur population ? Oui, des indiens et des chinois, même après toutes ces années. Mais les délimitations s’effacent : on peut observer de nombreux indiens à Chinatown et vice versa. Le résultat est un mélange culturel impressionnant : des pagodas, des stupas, des mandirs (temples hindous), des mosquées et des églises cohabitent en paix sur des petites places. Sympa. Même si la  » signature  » culturelle de chaque district reste bien présente.

chinatown-singapore-26 En lire plus :Découverte de Singapour à travers le regard d’un novice

Internet dans un jet

De retour sur la route… ou plutôt dans les airs. Je continue donc avec l’un de mes thèmes préférés – voler et les avions.

2015 a  bien commencé pour moi : j’en suis déjà à mon 30ème vol et j’ai déjà passé plus de 130 heures dans le ciel. Pas que je m’en plains – j’aime voler. C’est ma façon de faire une pause… c’est le seul moment où je peux vraiment me détendre ! Les principales raisons pour cela sont que mon téléphone est éteint et qu’il n’y a pas non plus d’Internet. Donc je peux enfin passer en revue la pile de mails qui se sont accumulés les jours précédents, lire un livre et regarder un film (ce que je fais rarement au sol).

Mais dernièrement, de plus en plus de compagnies aériennes offrent un accès Internet à bord. /* MAIS ! :  » Pour des raisons de sécurité, tous les appareils électroniques doivent rester éteints pendant toute la durée du vol, néanmoins notre Internet est gratuit : aucun problème ! « . Je m’abstiendrai de commenter cette contradiction évidente. */

Enfin, alors que je décline normalement les connexions Internet offertes par les compagnies aériennes, cette fois, j’ai décidé d’essayer pour changer…

J’ai essayé lors d’un vol Shanghai –Moscou avec Aeroflot. Tout allait très bien comme d’habitude (à part une queue très longue à l’enregistrement – plus d’une heure !). Ce qui fut plutôt curieux c’est que cette fois au lieu d’avoir une majorité de passagers russes et chinois, il y avait également de nombreux passagers italiens et espagnols.  » Pour payer des prix en rouble sur Aeroflot via Moscou « , ai-je pensé ! Peu importe, nos sympathiques passagers se sont justifiés d’une toute autre manière :  » Ne JAMAIS prendre Alitalia ou Iberia ! Aeroflot via Moscou est bien mieux ! « . Eh bien, ai-je pensé. Découvrez-en davantage sur d’autres compagnies et les différents vols et routes ici.

Hummmm. Je m’égare.

Donc. Nous avons embarqué et c’était parti. J’ai accepté les conditions générales d’utilisation et me suis connecté au Wi-Fi de l’avion !

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Un hôtel au bord du fleuve Colorado. Woaw !

Il existe un grand nombre de villes et villages magnifiques et originaux dans le monde. Il y a aussi les volcans, les vallées, les canyons, les îles, les lacs. Sans oublier les fleuves (il y en a beaucoup), et chacun d’entre eux est unique. Il existe des fleuves grandioses comme le fleuve Amazone qui fait partie intégrante d’une jungle qui abrite une grande quantité d’anacondas, de piranhas, de crocodiles et autres prédateurs aquatiques. On peut également évoquer le Nil (je ne l’ai pas vu de mes propres yeux) peuplé de crocodiles, traversant le désert et ayant été spectateur de milles et une histoires de civilisation antique. En parlant d’histoire, nous ne pouvons pas oublier Tom Sawyer et le fleuve du Mississipi. Nous avons aussi le Danube et le Rhin (son Lorelei et ses chants évoquant les soldats tombés au champ d’honneur). Nous pouvons également nommer le Fleuve Jaune avec ses eaux sombres et insondables (je n’ai pas eu l’occasion de voir), puis le fleuve Lena et ses fameux Piliers. Il s’agit en effet d’une longue liste et je vous invite à m’aider à la compléter.

Il existe un autre fleuve assez particulier au Sud-Ouest des États-Unis (et au Nord-Ouest du Mexique), le fleuve Colorado. Ce fleuve est tellement impressionnant que son nom est donné à un état. Ses qualités uniques sont dues à la façon dont il a taillé et traversé les paysages rocheux de de plusieurs États (le Colorado, l’Utah, le Nevada et la Californie). Jetez-y un coup d’œil.

La plupart des photos que j’ai prises dans mes derniers posts sur l’Utah étaient des photos du fleuve Colorado. Ce fleuve fournit son eau à cinq États différents dont un État particulièrement aride et se trouvant en plein milieu du désert : Las Vegas. Je me demande encore comment se fleuve n’a pas fait pour être totalement sec.

Ce fut le Colorado qui dessécha durant des milliers (ou des millions) d’années le Grand Lac Salé. Ce fut ce même fleuve qui tailla les plus incroyables rides – les canyons – dans ce paysage rocheux d’Amérique du Nord. Malgré tous les efforts du fleuve, certaines roches semblent résister à l’érosion. Elles sont toujours présentes, se dressant au-dessus des canyons. Les paysages sont tout simplement impressionnants et offrent une vue impossible à décrire. Il faut réellement le voir pour le croire. Je recommande à tout le monde d’aller le visiter un jour.

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Attachez vos ceintures ! Visite de l’Utah en véhicule tout-terrain

Juste quelques mots sur la voiture avec laquelle nous visitons l’Utah. Sans oublier le conducteur…

Il s’agit d’un classique du genre, mieux que le Land Rover Defender : le Land Cruiser de Toyota. Et je parle en toute connaissance de cause. Il démontre totalement la puissance de son incroyable 4×4 :

Utah on the road again

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Bonneville : l’Utah salé

Nous sommes toujours ici, aux États-Unis. Nos  » va-et-vient  » à travers le territoire américain nous ont amené à faire une escale rapide dans une petite ville dont je n’avais jamais entendu parler auparavant : Wendover, Utah.  L’aéroport de la ville se trouve à proximité des fameuses  Salt Flats de Bonnevile, aussi appelées le Salar de Bonneville. Un endroit splendide, silencieux et salé !

Bonneville Salt Flats, Utah

Bonneville Salt Flats, Utah

Bonneville Salt Flats, Utah

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Une nuit à l’hôtel… musée

Bonjour à tous ! Nous sommes toujours au Guatemala. Je suis confortablement installé dans cet hôtel hors du commun qui se situe au cœur du pays – et il s’agit d’un endroit réellement fascinant. Il m’est arrivé autrefois de séjourner dans des établissements intéressants qui faisaient quelque peu entorse à la définition du concept hôtelier classique, mais je ne m’étais jamais rendu dans un hôtel qui avait une double fonction. Dans le cas de cet hôtel, celui-ci abritait plusieurs musées !! Il s’agit de l’hôtel Casa Santo Domingo, situé dans l’ancienne capitale coloniale du pays, Antigua Guatemala.

Отель-музей в Гватемале

Отель-музей в Гватемале

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Nano-course

A quoi ressemble un week-end idéal ? Je parle d’un week-end idéal pour la plupart des garçons… de tout âge ? 🙂

Selon moi, la réponse est la suivante :

Un week-end idéal pour les garçons de tout âge sent les pédales de frein brûlantes, la fumée des moteurs, l’essence et l’adrénaline. Les sports automobiles : c’est comme le rock’n’roll mais encore mieux.

Récemment, certains de mes camarades et moi-même avions un peu de temps libre entre nos engagements professionnels et nous nous sommes rendus en Italie pour participer à la course de voiture, Adria-24. C’est une course nationale mais elle reste riche en adrénaline. Malheureusement, la douce odeur du succès n’est pas passée sous nos narines, car à environ la moitié de la course (après 12 heures), notre voiture est morte et il n’a pas été possible de la réanimer. Quel dommage. Voici son cadavre, la pauvre :

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