Routes islandaises : vues du sol et vues du ciel

Voici l’avant-dernier article sur l’île enchanteresse d’Islande. Nous avons voyagé en dehors des sentiers battus et nous nous sommes même envolés. Et oui, nous avons pris un hélicoptère !

En seulement quatre jours, nous avons parcouru plus de mille kilomètres en Islande, et c’était loin d’être ennuyant. En nous rendant d’un endroit intéressant à un autre, nous avons vu des centaines de paysages en tous genres qui étaient à couper le souffle : des volcans, des falaises, des glaciers, des cascades, des étendues recouvertes de scories volcaniques grises, des vastes champs de lave où poussent de l’herbe et des lilas de lupin, des aubes et des crépuscules éblouissants, des pâturages avec des moutons et des chevaux… En bref, c’était un vrai plaisir pour les yeux !

La longueur totale de la route circulaire est de 1 332 kilomètres.La longueur totale de la route circulaire est de 1 332 kilomètres.

La route circulaire passe au travers de quelques plaines fluvio-glaciaires, qui sont souvent très inondées.La route circulaire passe au travers de quelques plaines fluvio-glaciaires, qui sont souvent très inondées.

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Journée glaciale en Islande

Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui, nous parlerons de l’Islande glaciale.

Les glaciers d’Islande ne sont pas les plus grands au monde. Mais tout de même, les vues glacées panoramiques, les lacs gelés avec des icebergs et la force de la nature… en somme, tout est vraiment enchanteur !

Pendant que nous étions sur l’île, nous sommes allés visiter deux glaciers. Le premier dont je vais vous parler est le Langjökull. (Il se trouve ici).

C’est ici que je suis monté pour la première fois  sur une motoneige ! Je dois dire que je m’attendais à une descente facile et confortable sur la neige… mais en réalité, en conduire une à 50 km/h ou plus sur une neige humide et poudreuse n’a rien d’agréable ni de simple.

Il y a deux routes dans les montagnes, mais nous n'en avons utilisé aucune. Nous conduisions des motoneiges !Il y a deux routes dans les montagnes, mais nous n’en avons utilisé aucune. Nous conduisions des motoneiges !

Langjökull est la deuxième plus grande calotte glacière d'Islande, après le Vatnajökull.Langjökull est la deuxième plus grande calotte glacière d’Islande, après le Vatnajökull.

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Cascades islandaises

L’Islande est un pays où il y a beaucoup d’humidité en « été » et beaucoup de neige en hiver. (En fait, il n’y a pas vraiment de saison chaude ici, à moins que vous ne vous submergiez dans les sources chaudes pendant trois mois.) Par conséquent, l’H2O n’est pas ce qui manque ici. Comme il y a plusieurs volcans immenses dans ce pays, les conditions parfaites sont réunies pour voir apparaître de plus en plus de cascades en Islande, qui sont déjà en grand nombre. En voici les cinq plus importantes que nous avons visitées dans le sud et le sud-est du pays. Elles valent vraiment toutes la peine d’être vues.

Cascade no1 : Gullfoss. Elle se trouve ici.

Gullfoss, l'une des cascades les plus célèbres d'Islande. Gullfoss, l’une des cascades les plus célèbres d’Islande.

La rivière Hvítá coule dans un long virage qui forme une sorte d'escalier de trois marches, puis elle se précipite brusquement dans deux niveaux d'eau différents (l'un de 11 m et l'autre de 21 m) et arrive enfin dans une gorge de 32 m de profondeur. La rivière Hvítá coule dans un long virage qui forme une sorte d’escalier de trois marches, puis elle se précipite brusquement dans deux niveaux d’eau différents (l’un de 11 m et l’autre de 21 m) et arrive enfin dans une gorge de 32 m de profondeur.

Il y a eu une proposition d'utiliser la cascade Gullfoss pour produire de l'électricité, mais ce projet n'a pas abouti car les habitants des environs ont lutté contre.Il y a eu une proposition d’utiliser la cascade Gullfoss pour produire de l’électricité, mais ce projet n’a pas abouti car les habitants des environs ont lutté contre.

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Tectonique islandaise

Tout le monde a une petite idée de la composition de notre planète, même les élèves d’école primaire. En voici plus ou moins la description. Au centre se trouve le noyau. Puis, il y a le manteau. Enfin, il y a la croûte terrestre, sur laquelle nous nous trouvons.

Toutefois, la croûte terrestre n’est pas faite d’un seul bloc. Elle est composée de plaques tectoniques, qui flottent de manière presque imperceptible sur du magma. Ces plaques se déplacent dans différentes directions. Elles avancent les unes vers les autres, de façon perpendiculaire, ou encore s’écartent d’entre elles. On parle ainsi respectivement de convergence, de décrochement et de divergence. Des tremblements de terre se produisent fréquemment à cause du frottement des plaques. La tectonique provoque aussi toutes sortes d’activités volcaniques. Si cela vous intéresse, vous pouvez cliquer sur les liens.

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Quand les plaques convergent, des montagnes et des volcans apparaissent, ainsi que toutes les caractéristiques qui leur sont associées sur la terre ferme. C’est le cas du Japon, du Kamchatka, des îles Kouriles, des îles Aléoutiennes, de la Cordillère des Andes, de la Cordillère américaine, de l’Himalaya, etc. Les zones où les plaques divergent sont en général des fonds marins, visibles sur des cartes de qualité et suffisamment détaillées. Ici se trouve, par exemple, la dorsale médio-atlantique. A cet endroit, les plaques tectoniques l’éloignent les unes des autres, et l’espace qui se crée est comblé par du magma.

L’un des rares lieux où la divergence des plaques se produit en surface est l’Islande. Ce pays se situe entre la plaque américaine et la plaque eurasienne. La première se déplace très lentement vers l’ouest, tandis que la seconde se dirige tout aussi lentement vers l’est (à une vitesse de 2 cm par an). En d’autres termes, la largeur de l’Islande augmente de deux centimètres chaque année (indépendamment de l’érosion des côtes ou, au contraire, de l’expansion de la masse terrestre provoquée par les coulées de lave). Cela correspond à deux mètres par siècle, à vingt mètres par millénaire et à vingt kilomètres par million d’années. Si elle continue d’évoluer de cette manière, l’Islande sera, dans 200 millions d’années, aussi large que la longueur du Chili ou, dans 300 millions d’années, aussi étendue que la Russie !

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En Islande, le meilleur endroit pour observer la fissure au sol provoquée par la faille est Þingvellir (Thingvellir).

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Une fissure inégale et escarpée, d’environ cinq kilomètres de long, traverse le paysage. En plus, il y a un joli lac. Voici à quoi cela ressemble :

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Les montagnes que l’on distingue à l’horizon sont en Europe. La photo a été prise en Amérique du Nord, et toute la terre devant nous correspond au trou entre les deux plaques tectoniques, l’eurasienne et l’américaine.

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L’Islande : un pays merveilleux

J’ai toujours rêvé de visiter l’île volcanique de l’Islande, que ce soit pour faire du tourisme, de la randonnée ou pour me ressourcer. Mes amis et mes collègues m’en avaient dit beaucoup de bien. J’avais aussi vu des photos superbes de ses paysages et j’avais écouté de la musique islandaise, mais ce n’est que récemment que j’ai pu y aller quelques jours, étant donné que j’avais des rendez-vous d’affaires dans le pays.

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Après l’avoir découverte, voici les quelques adjectifs qui me viennent à l’esprit quand j’essaie de décrire cette île : gigantesque, grandiose, magnifique et monumentale. À mon avis, cet endroit est l’un des plus beaux de la planète, et comme vous le savez, j’ai vu beaucoup de lieux magnifiques. Bien sûr, les intempéries et les changements climatiques peuvent poser un problème ici. Mais il faut s’attendre, la calotte polaire n’étant, après tout, pas si loin… De toute façon, c’est un inconvénient de moindre importance comparé à la splendeur des volcans, des geysers, des sources chaudes, des glaciers, des cascades, de la tectonique (un nouveau mot qui appartient à mon lexique et dont je vous parlerai plus tard) et d’autres beautés naturelles de l’île.

Alors, préparez votre pop-corn car les prochains articles de la série seront remplis de photos et de commentaires, et constitueront un carnet de voyage exceptionnel. Pour commencer, voici une petite sélection de chefs-d’œuvre photographiques pour illustrer certains des meilleurs moments du voyage.

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Une voiture qui peut être piratée à distance : c’est arrivé !

De temps en temps (à quelques années d’intervalle), quelque chose de terrible a lieu dans l’univers cybernétique. C’est une sorte d’événement dramatique, auquel personne ne s’attend, et qui bouleverse véritablement le monde. Pour la plupart des « citoyens », ce n’est apparemment que la dernière des mauvaises surprises que réserve inévitablement le monde cybernétique. Alors que mes collègues et moi, nous secouons la tête, clignons des yeux, faisons la grimace et soulevons un sourcil à la manière de Roger Moore, tout en poussant une exclamation du style : « Nous vous attendions, M. Bond. Pourquoi avez-vous mis autant de temps ? ».

Etant donné que nous étudions et analysons en continu les principales tendances du côté obscur d’Internet, nous avons une certaine idée de qui se trouve derrière cet acte glauque. Nous imaginons également quelles peuvent en être les motivations. C’est ainsi que nous pouvons prévoir la manière dont les choses vont évoluer.

Chaque fois qu’un tel événement « inattendu » se produit, je me retrouve dans la situation inconfortable de devoir donner un discours (ou plutôt, des discours) dans le genre de « Bienvenue dans une nouvelle ère ». Je dois le reconnaître, je ne fais que reprendre des paroles que j’avais prononcées il y a quelques années. En plus, je n’ai qu’à mettre à jour un ancien discours, en ajoutant une phrase du style : « je vous avais mis en garde contre ça, mais vous pensiez que je me montrais alarmiste simplement pour vendre mes produits » !

Voilà, vous avez compris (personne n’apprécie d’entendre « je vous l’avais bien dit », alors je vais passer à autre chose). 🙂

Alors, de quoi s’agit-il cette fois-ci ? En réalité, cela concerne un secteur auquel je tiens beaucoup : celui du monde automobile !

Il y a quelques jours, le journal WIRED a publié un article dont la première phrase était : « je roulais à 110 km/h aux abords du centre-ville de Saint-Louis quand l’exploit a commencé à se produire ». Mince !

L’article se poursuit par la description d’une expérience menée par des hackers chercheurs en sécurité, provoquant à distance l’accident d’une voiture intelligente. Les chercheurs ont disséqué (pendant plusieurs mois) le système informatique Uconnect d’une Jeep Cherokee. Ils ont finalement trouvé une vulnérabilité et sont parvenus à prendre le contrôle des fonctions principales du véhicule via Internet (alors que le journaliste de WIRED conduisait sur l’autoroute) ! Je ne plaisante pas ! Et nous ne parlons pas là d’un « cas de laboratoire » isolé ne concernant qu’une seule voiture. Non, la faille que les chercheurs ont trouvée et exploitée concerne près d’un demi-million de véhicules. Oups ! Et mince, encore !

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Le plus petit et le plus grand pays du monde

Bonjour tout le monde !

Cet article est le dernier de la mini-série sur Saint-Pétersbourg. Je continuerai sur le thème des « lieux à visiter« , mais avec une différence : le lieu que je vais décrire ressemble à un musée, mais je crois qu’il n’en est pas vraiment un. Ou peut-être que oui… Après tout, c’est ce qu’il prétend être… Enfin, peu importe ce que c’est, il est insolite, unique et fait partie des choses à voir !

Cet endroit est un peu comme un musée ou une galerie d’art car il n’est toléré en aucun cas de toucher … les pièces d’exposition, même si elles n’en sont pas vraiment… Vous êtes un peu perdu ? Ne vous inquiétez pas, vous allez comprendre…

Il est inscrit sur l’affiche : « il a touché la maquette ! ». Il est écrit sur la chemise : « je suis puni ».

Je vous présente la Grande maquette de Russie ! Il s’agit d’un modèle réduit du paysage russe, une version miniature de l’ensemble du pays, ce qui en fait la plus petite maquette du plus grand pays du monde. C’est aussi la deuxième plus grande maquette de ce genre au monde, derrière le Miniatur-Wunderland à Hambourg.

C’est un lieu vraiment unique, surprenant et très agréable. Vu de l’extérieur, il n’a rien d’exceptionnel, c’est juste un bâtiment modeste et pas très grand. En revanche, vu de l’intérieur, il est extraordinaire ! C’est comme le TARDIS de Dr. Who ! Une maquette gigantesque, un jouet trop énorme pour les petits et les grands ! Mais encore, ce n’est pas vraiment un jouet… Quel type de jouet serait-ce si personne ne peut le toucher ? 🙂

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Merveilles ferroviaires à Saint-Pétersbourg

Il existe différents types de musées.

Il y a les vrais musées (au sens propre du terme), et il y a des expositions, des présentations, des installations… Quel autre terme pour décrire de telles choses ? Graffiti ! A ce propos, y a-t-il une exposition ou une installation de graffitis de qualité, réalisés avec bon goût ? Le dernier que j’ai croisé sur mon chemin depuis nos beaux graffitis était du vrai art. Oups ! Je m’écarte déjà avant même d’avoir commencé ! Je fais toujours ça…

Alors, à propos des musées…

Saint-Pétersbourg en est rempli. C’est un peu la capitale mondiale des musées !

En même temps, je comprends que si on compare ses musées au Louvre ou au British Museum, Saint-Pétersbourg est encore en retrait par rapport à Paris et à Londres. Toutefois, si on prend en compte le passé difficile de la ville, tous ses musées relèvent un peu du miracle. Les musées n’étaient pas très encouragés pendant la période post-impériale, ni pendant celle du communisme des années 70 et plus. Evidemment, la Seconde Guerre mondiale marque un contretemps important. Même depuis la chute du communisme, les musées de la ville ont continué d’être comme négligés, ne recevant ni subventions de l’Etat, ni financements de la part de mécènes philanthropiques, comme c’est le cas en Occident. Peut-être que je me trompe, mais c’est l’impression que j’ai. Dites-moi si j’ai tort.

Voilà que je m’éloigne à nouveau. Bon, retour au sujet principal.

A Saint-Pétersbourg, il y a les musées habituels, ceux que les enfants visitent pendant leurs voyages scolaires. Ceux sont les musées typiques, ennuyeux, traditionnels et incontournables. Du coup, nous avons décidé de sortir des sentiers battus et de nous intéresser à ce qui est alternatif et rebelle ! Nous sommes allés… au musée des chemins de fer !

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Je le recommande d’emblée, en particulier aux petits garçons (mince, est-ce que c’est sexiste, maintenant ?). Dans un magasin de jouets, les rayons pour les garçons sont remplis de locomotives, tandis qu’ici, c’est le paradis des trains ! Il s’y trouve toute sorte de pièces, retraçant ainsi l’histoire entière du mode de transport le plus chic et le plus romantique, unique en son genre, depuis les plus beaux trains jusqu’aux plus effrayants, depuis les plus simples jusqu’aux plus originaux (ces derniers étant les plus intéressants de tous).

A présent, je vais me taire et laisser les photos s’exprimer par elles-mêmes. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez toujours effectuer des recherches sur ce qu’on appelle Internet ! Ou bien vous pouvez lire les explications de certaines photos.

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Saint-Pétersbourg vue du ciel

Bonjour tout le monde !

Il est toujours sympa de prendre de la hauteur pour admirer un paysage d’en-haut, depuis une montagne, par exemple. Il est encore mieux de le survoler pour en avoir une vue panoramique. Et le top du top consiste à monter à bord d’un hélicoptère pour faire le tour guidé d’une ville magnifique, en particulier s’il s’agit de la splendide Saint-Pétersbourg.

Nous avons donc grimpé dans un hélicoptère !

Parcours : Aéroport de Pulkovo – Petergof –Bolshaya Neva (bras long de la Neva), la Neva, Malaya Nevka (bras court de la Neva) – Pulkovo.

Je n’ai pas grand-chose à dire, mais j’ai beaucoup de photos à vous montrer :

Petergof :

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LA SAINT-PETERSBOURG ESPIEGLE

Saint-Pétersbourg en été, et surtout en juin et en juillet, c’est… piège. Vous avez probablement déjà entendu qu’il ne fait presque jamais nuit en cette saison. Le soleil, bien haut dans l’hémisphère nord à cette époque de l’année, ne se couche que quelques petites heures, avant de se « lever » aux premières heures du matin. Par conséquent, les jours peuvent paraître interminables ; enfin, ils le sont presque ! Si vous voulez fermer l’œil la « nuit », il vous faut des rideaux très épais ou un masque pour les yeux.

Il y a autre chose : vous devez vous assurer que vous vous trouvez où vous devez être quand les ponts se lèvent. S’ils se sont redressés et que vous n’êtes pas où vous le devez : oups ! Par ailleurs, ces ponts basculants ont leur avantage : quelle meilleure excuse pour justifier que vous n’êtes pas là où vous le devriez (mais où vous n’avez pas envie de vous rendre) ? « Je ne peux pas y aller. Non, vraiment, je ne peux physiquement pas y aller, les ponts se sont levés ! ».

Comme je vous l’ai dit, cette époque de l’année est plutôt piège.

C’est un peu difficile, mais c’est aussi magnifique. Regardez un peu les vues superbes de ces nuits blanches et de ces ponts levés ! Incroyable, en effet !

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