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Analyse de 2022 : nos brevets ont connu un franc succès !

L’invention de nouvelles technologies de pointe ne représente que la moitié du travail. Attendez, non ! Je ne devrai pas être pas si catégorique…

Les nouvelles technologies d’avant-garde et révolutionnaires sont en réalité un cycle de vie probablement beaucoup plus complexe et long que ce que la majorité des gens pensent au premier abord. Évidemment, si l’invention n’a pas lieu en amont rien ne se passe par la suite, mais sans ce cycle de vie qui apparaît après, même les technologies les plus surprenantes et révolutionnaires risqueraient de faire faillite avant même qu’elles ne voient le jour, et ne pourraient pas aider l’humanité comme prévu. Ou alors, l’invention pourrait tomber entre les mauvaises mains de ceux que l’on appelle les « consommateurs champions » ou les « trolls de brevet« .

Le brevetage est l’une des diverses actions qu’une entreprise doit entreprendre lors du cycle de vie d’une nouvelle technologie. Malheureusement, si vous ne déposez pas le brevet de la nouvelle technologie du système en question, vous n’aurez aucun droit, et ce même si c’est vous qui l’avez inventée ! L’histoire regorge d’exemples : machine karaoké, bande magnétique des cartes plastifiées, hand spinner et bien d’autres.

Bon, le brevetage. Il s’avère que ce n’est pas le processus commercial le plus simple ni le plus accessible et que vous avez besoin de beaucoup de connaissances et d’argent, surtout lorsque c’est international. Ce n’est pas pour autant que le processus est moins important. Étant donné qu’à K notre travail a toujours reposé sur les nouvelles technologies, dès que notre résultat net nous l’a permis, nous avons immédiatement entrepris des démarches de protection par brevet. Ainsi, nous avons déposé notre tout premier brevet en 2008. Depuis, petit à petit, nous avons constamment développé nos connaissances en brevets autant que possible au fil des années. Et nous avons bien fait !

Plus l’entreprise a eu du succès et s’est développée partout dans le monde, plus les trolls de brevet s’en prenaient à nous pour essayer de gagner facilement de l’argent. De plus, les concurrents sans scrupule, et leurs technologies qui ne pouvaient guère rivaliser avec les nôtres en termes de qualité, n’étaient pas satisfaits de voir les clients utiliser nos produits. En fin de compte, nous avons été concernés par 10 actions pour violation de brevets : nous en avons gagné 9 et la dernière est encore en cours. Nous n’abandonnons jamais. Nous nous défendons, et nous gagnons.

Situation générale.

Avec la pandémie et les troubles géopolitiques actuels, notre entreprise a négativement été affectée de façon générale et cela a eu des conséquences sur notre travail de brevetage, qui est aussi à la baisse. Les événements passés et actuels vont certainement avoir un effet sur les prochaines années à venir. Pourtant, ce n’est pas une raison pour faire profil bas jusqu’à ce que les choses s’améliorent ; au contraire. Cela nous pousse à appuyer encore plus sur l’accélérateur. C’est exactement ce que nous avons fait en 2022 (notre résumé de 2021 est disponible ici). Laissez-moi vous expliquer comment nous avons procédé…

Nous avons fini l’an dernier avec un portefeuille de 1367 brevets et 330 demandes de brevets dans différents pays (dont les États-Unis, l’Union européenne, la Russie et la Chine). En 2022, nous avons obtenu 123 nouveaux brevets (dont 51 aux États-Unis, 37 en Russie, 24 en Chine et 9 en Europe) et avons déposé 58 demandes de brevets. Laissons de côté la quantité et concentrons-nous sur la qualité. Nous avons reçu les brevets pour près de 98 % des demandes déposées (100 % dans certains pays) alors que la moyenne internationale des entreprises tourne autour de 50 %. Impressionnant !

L’image globale de nos brevets ressemble à cela :

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Analyse des brevets déposés en 2021 : la majorité des brevets des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier

Bonjour les amis !

Je me devais de partager cette bonne, non, à vrai dire, excellente nouvelle : en 2021, nous avons obtenu plus de brevets aux États-Unis que n’importe quelle autre entreprise russe ! Et nous avons battu tous les records  puisqu’en 2021 le nombre de brevets octroyés dans le pays a baissé de 7,5 %.

« Selon l’analyse annuelle du classement des brevets publiée par IFI Claims Direct, Kaspersky a été désignée comme la première entreprise russe brevetée aux États-Unis avec 43 brevets publiés en 2021. Tout au long de son histoire, l’entreprise a reçu 412 brevets rien qu’aux États-Unis, avec plus de 1200 brevets dans le monde, notamment en Russie, dans l’UE, en Chine et au Japon. »

D’ailleurs, malgré cette baisse générale du nombre de brevets délivrés l’an dernier, ceux concernant l’apprentissage automatique et l’informatique quantique ont augmenté. Ce n’est qu’une simple piqûre de rappel au cas où vous auriez oublié dans quelle direction le monde moderne évolue. Un grand merci à toute l’équipe de notre service de propriété intellectuelle. Comme toujours, nous travaillons dur, nous travaillons de façon intelligente et nous obtenons des résultats. Souvenez-vous de nos victoires sur les trolls de brevets, ou encore sur Microsoft et Apple lorsqu’il s’agit d’antitrust. Je souhaite aussi remercier nos développeurs qui ont été les premiers à imaginer ces technologies qui connaissent un succès mondial, et je n’exagère pas puisque nos produits obtiennent les meilleurs résultats lors de tests indépendants. Oh oui !

Cette super nouvelle sur nos brevets m’a donné une idée… Pourquoi ne pas analyser de plus près nos réussites en termes de brevets en 2021 ? Il ne s’agit pas seulement de savoir combien mais lesquels, , quand et comment. Pourquoi pas ? Après tout, les articles que j’ai publiés sur mon blog pour vous parler des brevets ont connu un franc succès. Ce résumé va aussi compléter mon analyse de 2021. Tout est prêt. Allons-y !

En 2021, nous avons obtenu 137 brevets et en avons déposé 76 autres. Au total, nous avons donc 1240 brevets et 392 demandes. Voici notre graphique historique des brevets après que nous ayons ajouté ces données :

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Top 5 des technologies K qui nous ont permis de figurer parmi les 100 entreprises les plus innovantes du monde !

Nous avons encore réussi. Nous figurons pour la deuxième fois dans le Top 100 des entreprises les plus innovantes à l’international de Derwent, une liste prestigieuse d’entreprises internationales établie en fonction de leur portefeuille de brevets. Je dis prestigieuse puisque ce classement nous permet de côtoyer certaines entreprises comme Amazon, Facebook, Google, Microsoft, Oracle, Symantec ou encore Tencent. Cette liste n’est pourtant pas une simple sélection des entreprises qui semblent avoir de l’importance et utiliser les brevets de façon intelligente ; elle repose sur le travail analytique et titanique de Clarivate Analytics qui a évalué plus de 14 000 ( ! ) entreprises candidates, selon différents critères, le plus important étant le taux de citations ou, en d’autres termes, l’  » influence « . Et si cela n’était pas suffisant, en cinq ans le seuil minimal à atteindre en termes d’influence pour figurer dans le top 100 a augmenté de 55 % :

Pour être un peu plus précis, le taux de citations est l’influence des inventions sur les innovations d’autres entreprises. Dans notre cas, il s’agit de voir à quelle fréquence les autres inventeurs nous mentionnent dans leurs brevets. Si une autre entreprise vous mentionne officiellement dans son brevet alors cela signifie que vous avez inventé quelque chose de nouveau, réellement innovant et utile qui aide l’entreprise en question à proposer  » quelque chose de nouveau, réellement innovant et utile « . Il est évident qu’un tel système de reconnaissance du travail d’autres innovateurs n’accorde aucune place à ceux qui présentent de simples copies de brevets. Voilà pourquoi ces brevets ne peuvent en aucune façon figurer dans ce top 100. En attendant, nous, nous y sommes. Nous figurons dans le top 100 des entreprises internationales innovantes qui font vraiment avancer les choses en technologie.

Ouah, quel honneur. C’est comme si on nous félicitait pour tout notre dur labeur. Une véritable reconnaissance de nos contributions. Hourra !

Nous sommes encore sous le choc, et euphoriques, mais en tant que petit curieux, je me suis demandé quelles sont les cinq technologies brevetées les plus mentionnées, et donc les plus influentes. Je me suis penché sur la question et voilà ce que j’ai découvert…

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L’équipe chargée des brevets a fait du très bon travail

Le mois qui vient de s’écouler a été particulièrement bon pour K en matière de propriété intellectuelle. Je suis vraiment content de recevoir de si bonnes nouvelles pour éclaircir un peu les jours ternes, humides et maussades qui nous attendent en mars. Nous avons reçu bien d’autres informations positives en matière de propriété intellectuelle ces derniers mois…

En septembre 2019, et pour la deuxième année consécutive, nous avons été inclus dans le classement Derwent Top 100 Global Innovators, et cette reconnaissance fait de nous la première (et la seule) entreprise russe à figurer dans le Top 100 des entreprises les plus innovantes à l’international. Il s’agit là d’un classement très prisé et extrêmement exigeant. Hourra !

Voici quelques informations sur ce Top 100. Chaque année, l’entreprise américaine indépendante Clarivate Analytics sélectionne les entreprises internationales les plus innovantes selon la qualité de leur portefeuille de brevets. Dans ce cas précis, Clarivate utilise les quatre critères suivants pour établir son Top 100 :

  1. La réussite de l’entreprise quant à l’obtention du brevet demandé ;
  2. L’internationalité des innovations de l’entreprise ;
  3. La fréquence selon laquelle les brevets de l’entreprise sont mentionnés par d’autres entreprises (informatiques dans notre cas) ; et
  4. Le nombre de brevets que possède l’entreprise.

Cette année, huit acteurs informatiques figurent dans la liste : Amazon, Facebook, Google, Microsoft, Oracle, Symantec, Tencent et nous ! Il est assez plaisant d’être au coude-à-coude avec des entreprises si importantes !

Voici maintenant une petite mise à jour des données relatives à notre équipe chargée des brevets, et qui ne cesse de nous étonner par leur dur labeur et leur réussite. Notre pratique dans le domaine des brevets remonte à 2005. Depuis, notre portefeuille est passé de 0 à plus de 930 brevets obtenus en Russie, aux États-Unis, en Europe, en Chine et au Japon ! En outre, nous avons encore 500 demandes de brevets en attente. Nous avons gagné neuf poursuites en justice, deux sont encore en cours et nous n’en avons perdue aucune !

En résumé, nous luttons (et gagnons) encore et toujours contre les trolls de brevets. Ne l’oubliez pas !

C’est tout pour aujourd’hui les amis. À demain !…

La propriété intellectuelle nous apporte d’autres bonnes nouvelles.

Je n’ai pu m’empêcher de remarquer que notre dernière annonce relative aux brevets a fait le buzz. Il s’agit de la dernière bataille que notre avocat d’affaire vient de remporter 😊. J’ai le plaisir de continuer dans cette lancée puisqu’il y a quelques jours de cela nous avons gagné une autre bataille de taille… Nous sortons encore victorieux d’un important procès en matière de brevets ! Cette fois, nous nous sommes affrontés à Uniloc (cette même entreprise qui a réussi à soutirer 388 millions de dollars à Microsoft). Vous devriez savoir que cette compagnie nous avait déjà poursuivis en justice pour ce même brevet en 2018 mais que nous avions eu raison d’elle.

Récemment, au cours du processus de négociation d’une plainte de violation de brevet déposée par Uniloc, nous avons reçu un message de la part des représentants de l’entreprise qui disaient être fatigués de se battre et prêts à y mettre un terme. Pour faire simple : ils sont prêts à abandonner les charges si nous faisons de même. Nous étions bien évidemment d’accord, sans passer par les formalités administratives et dans l’heure. Nous avons donc immédiatement rédigé une première version de cette déclaration commune pour  » rejet final des procédures  » qui est, dans ce cas, un jugement final signifiant que l’affaire ne peut pas faire l’objet d’autres actions.

Passons aux choses sérieuses…

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Nouvelle technologie d’émulation de Kaspersky : lutter contre les virus

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les virus qui infectent les ordinateurs sont tout simplement appelés  » virus  » ? En réalité, de nos jours, le mot  » virus  » est utilisé de façon trompeuse puisqu’il fait référence à  » n’importe quel programme malveillant  » ou sert à décrire  » n’importe quelle action néfaste qu’un programme a sur un ordinateur.  » J’ai trouvé cette définition dans notre encyclopédie.

Toujours selon notre encyclopédie,  » un virus, au sens strict, est défini comme un code de programme qui se reproduit «  et se répand, exactement comme le fait un virus biologique ; le virus de la grippe par exemple.

Étrangement, les virus qui correspondent à cette définition ont disparu depuis plusieurs années. Il s’agit désormais de programmes malveillants qui ne se reproduisent pas autant mais ont des fonctions vraiment dangereuses, puisqu’ils peuvent voler les informations de votre ordinateur, ou effacer la totalité des donnés (un cheval de Troie par exemple). Encore aujourd’hui, si vous demandez à quelqu’un comment il imagine les technologies de sécurité des ordinateurs, il va sûrement vous parler de scientifiques en blouses de laboratoire combinaisons Hazmat qui réalisent des mises en quarantaine et travaillent avec des éprouvettes, même si ces outils ne sont nécessaires que lorsqu’il s’agit de virus biologiques. En lire plus :Nouvelle technologie d’émulation de Kaspersky : lutter contre les virus

Le début de la fin de la bataille contre les trolls de brevet.

En août et septembre de cette année j’ai dû « travailler depuis chez moi », ce qui est très inhabituel. J’avais beaucoup de temps libre puisque je n’avais aucune corvée de voyage/déplacement/entraînement/entretien/discours ou autres tâches quotidiennes. Alors j’ai lu. J’ai beaucoup lu. Les mauvaises nouvelles habituelles étaient nombreuses, mais il y avait aussi parfois de très bonnes nouvelles. Surtout une bonne excellente nouvelle depuis le front de la bataille contre les trolls de brevet : la cour de justice du district du Texas a rejeté la demande de procès d’Uniloc contre nous, pour violation du brevet US5490216. Il s’agit du brevet tristement célèbre qui depuis le début des années 2000 terrifie les entreprises informatiques, ajoute des cheveux blancs aux nombreux avocats spécialisés en droit des brevets, et allège impitoyablement les portefeuilles de plus de 160 (!) entreprises, dont Microsoft et Google. Rien que ça !

Mais ce n’est pas tout, mes amis… !

Les efforts communs de l’industrie informatique ont permis de sécuriser l’invalidation de ce brevet informatique infernal. Nous ne sortons pas le champagne seulement pour fêter l’invalidation du brevet en soi, mais aussi parce que cette invalidation annonce de profonds changements, attendus depuis longtemps, dans le système des brevets aux États-Unis. Il est certain que pour le moment les choses avancent  » lentement mais sûrement « . Cependant, il vaut mieux avoir un changement lent que rien du tout, surtout lorsque ces changements ont une portée mondiale : au moins le secteur informatique peut commencer à éliminer ces parasites de brevets qui le poursuivent, et ne sont que des sangsues obstacles au développement technologique.

Le débat n’a pas simplement été lancé, il se répand à grande vitesse : les développeurs ont plus de libertés dans leurs actions, et sont protégés des propriétaires qui entament des poursuites à cause de (excusez-moi l’expression) ce brevet scandaleux : ceux qui décrivent les abstraits, et de temps en temps des choses assez évidentes et banales, qui en pratique ne sont même pas appliquées, ou ne sont utilisées que par des développeurs qui profitent de technologies similaires.

En résumé, l’histoire du brevet qui se termine par 216 se lit plutôt comme un roman à suspense : à tel point que j’ai pensé que je pourrai vous raconter à nouveau cette histoire, vu que vous êtes à la recherche de sensations fortes. Allez vous servir un café (ou encore mieux, faites du popcorn), et installez-vous confortablement dans votre fauteuil pour une courte histoire à suspense depuis le point de vue du brevet parasite…

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Cybernouvelles du côté obscur – 24 juin 2014

Les chasseurs de brevets – en savoir plus

Dans ce domaine, les passions continuent à se déchainer, par vague de crises ardentes et déchainées. Malheureusement, les problématiques liées aux parasites de brevets n’ont pas encore disparues. Généralement, on entend seulement parler des cas lourds, plus intéressants. Mais en creusant un peu, on découvre des affaires moins connues, qui sont malgré tout dignes d’intérêt. Nous avons déniché une quantité appréciable d’histoires sur les chasseurs de brevets (ou troll des brevets), assez pour que ce soit le titre de cet article d’ailleurs. Alors voici…

Quand l’ironie est trop forte

Pour ce premier item, je n’ai pas eu à chercher trop longtemps, j’ai seulement fouillé un peu sur Ars Technica. Je suis tombé sur une de ces glorifications du  » regroupeur de brevets  » RPX. Il y est décrit comme un défenseur de la veuve et de l’orphelin, des pauvres et des princesses. Je n’en croyais pas mes yeux :  » RPX vend des abonnements aux sociétés qui se sentent flouées par les chasseurs de brevets, par exemple Apple et plusieurs autres compagnies technologiques. En fait, RPX achète les brevets avant que les chasseurs ne le fassent. En regroupant ainsi le pouvoir de plusieurs compagnies, RPX obtient les brevets à des prix avantageux « . En fait, je suis arrivé à y croire. N’empêche, j’étais secoué par le degré d’hypocrisie…

QUOI ? RPX, un genre d’anti-troll ? Non, mais tout de même…

Source

Nous avons localisé ce pseudo anti-troll au moment de sa création, et nous avons été parmi les premiers à contre-attaquer, et avec succès. En lire plus :Cybernouvelles du côté obscur – 24 juin 2014

Inventeurs et inventions

Comme les événements récents l’ont confirmé – nous sommes très actifs dans le monde des brevets.

Nos boîtes mails continuent de se remplir de toutes sortes d’e-mails – aussi bien positifs que négatifs et aussi intéressants qu’insipides – sur des revendications de brevets et autres inventions assorties…

… Ce qui m’a poussé à penser…

… Et ce qui m’a poussé à effectuer une recherche sur les prédictions bizarres et merveilleuses (et complètement fausses) des « experts » concernant les nouvelles idées, les inventions et les grands changements à travers les siècles.

Voici une intéressante liste de 20 absurdités extrêmement bizarres que j’ai trouvé sur Internet; je suis certain que cela vous fera froncer les sourcils au moins une fois ou deux, et certaines vous feront peut-être même rire :

1. « La chute de pierres venues du ciel est physiquement impossible. » – Académie des Sciences de Paris à propos des météorites, 1772

2. « Dans le futur, les ordinateurs pèseront plus de 1,5 tonne. » – Popular Mechanics, 1949

3. « Je pense qu’il y a un marché mondial pour quelque chose comme cinq ordinateurs. » – Thomas Watson, PDG de IBM, 1943

4. « J’ai parcouru ce pays en long et en large, j’ai parlé avec les meilleurs, et je peux vous assurer que le traitement des données est une tendance qui ne passera pas l’année. » – Éditeur, Business Books, Prentice Hall, 1957

5. « Mais… à quoi ça sert ? » – Ingénieur, Advanced Computing Systems Division chez IBM, 1968, à propos des micropuces.

6. « Il n’y a aucune raison valable pour que quiconque aie envie d’avoir un ordinateur chez lui. » – Ken Olsen, directeur de Digital Equipment Corp., 1997.

7. « Ce « téléphone » a trop de défauts pour qu’il puisse un jour être considéré comme un outil de communication. Cet appareil n’a aucune valeur à nos yeux. » – Mémo interne de Western Union, 1876.

8. « La boîte à musique sans fil n’a aucune valeur commerciale. Qui paierait pour un message qui n’est envoyé à personne en particulier ? » – Les associés de David Sarnoff en réponse à ses demandes d’investir dans la radio dans les années 20.

9. « Le concept est intéressant et bien formulé, mais pour obtenir une meilleure note qu’un « C », l’idée doit être réalisable. » – Un professeur de l’université de Yale en réponse à l’étude de Fred Smith qui proposait un service de livraison de nuit. (Smith créera plus tard la Federal Express Corp.)

10. « Qui pourrait bien avoir envie d’entendre les acteurs parler ? » – H.M. Warner, Warner Brothers, 1927

11. « Nous n’aimons pas leur son et la guitare sera bientôt démodée. » – Decca Recording Co. refusant de signer un contrat aux Beatles, 1962 (celle-ci m’a bien fait rire).

12. « Les machines volantes plus lourdes que l’air sont impossibles. » – William Thomson, Lord Kelvin, scientifiques britanniques, 1899

13. « Ce professeur Goddard malgré sa « chaire » à Clark College et le soutien de l’Institut Smithsonian ne connaît pas la relation entre action et réaction, et du besoin d’avoir quelque chose de plus consistant que le vide contre lequel s’appuyer, c’est tout simplement absurde. En réalité, il semble lui manquer les connaissances enseignées tous les jours au lycée. » – Éditorial du New York Times publié en 1921 sur le travail révolutionnaire de Robert Goddard sur les fusées. La remarque a finalement été retirée dans le numéro du 17 juillet 1969.

14. « Forer des puits de pétrole ? Vous voulez dire creuser dans le sol pour essayer de trouver du pétrole ? Vous êtes fou ! » – Des travailleurs à qui Edwin L. Drake s’était adressé pour son projet de puits de pétrole en 1859.

15. « Les avions sont des jouets intéressants mais ils n’ont aucune valeur militaire. » – Le maréchal Foch, professeur de stratégie à l’école supérieure de guerre, 1911.

16. « Tout ce qui peut être inventé a déjà été inventé. » – Attribué à Charles H. Duell, Commissaire à l’U.S. Office of Patents, 1899

17. « La théorie de Louis Pasteur sur les germes est une fiction ridicule. » – Pierre Pachet, professeur de physiologie à Toulouse, 1872

18. « L’abdomen, la poitrine et le cerveau sont à jamais interdits à l’intrusion de la connaissance et de la chirurgie humaine. » – Sir John Eric Ericksen, chirurgien britannique, chirurgien personnel de la reine Victoria, 1873

19. « 640K. ce devrait être assez pour tout le monde. » – Bill Gates, 1981

20. « 100 millions de dollars est bien trop pour Microsoft. » – IBM, 1982

Comme c’est devenue une coutume, je terminerai avec une autre énigme :

Une corde est tendue autour de l’Équateur. Elle est coupée à un point et on ajoute une section d’un mètre à sa longueur actuelle. Si cette corde pouvait magiquement flotter dans l’air afin qu’elle soit complètement tendue (comme elle l’était avant), à quelle distance flotterait au dessus de la terre ?

Soyez prêts à combattre !

Il vaut mieux prévenir que guérir. Et cela vaut aussi pour combattre les trolls de brevets.

C’est avec cet adage en tête que nous avons décidé de poursuivre en justice Device Security LLC afin d’obtenir l’invalidation et la non violation du brevet concernant la technologie impliquée dans la protection des données sur les appareils mobiles. Et bien que cela fasse déjà 8 ans que nous traitons avec les brevets parasites, c’est la première fois que nous menons une attaque de prévention.

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