LES YEUX DE LA TERRE.

De quelle manière regarde la Planète Terre, euh, le monde [sic.] ; je veux dire, où sont ses yeux ?

C’est vrai, ce sont ses télescopes !

Il existe des télescopes de différents types, formes, tailles et usages : les radiotélescopes/ télescopes gamma, les télescopes spatiaux divers, mais aussi des télescopes optiques, qui mesurent plus d’un mètre de diamètre. Parmi ces derniers, il n’en existe seulement que quelques dizaines ou bien un peu plus d’une centaine dans le monde. Cependant, il y a beaucoup moins d’endroits appropriés pour eux, seulement trois en réalité. Il y en a un à Hawaï (j’y suis allé), un dans le Désert d’Atacama au nord du Chili (pas encore), et un aux Îles Canaries (j’y étais la semaine dernière). Ces trois endroits sont très purs, l’air y est sec et les conditions climatiques stables, bien loin de l’éclat de la civilisation, autrement dit, ils réunissent des conditions astro-climatiques idéales.

Alors que nous étions à Tenerife la semaine dernière, nous avons décidé de jeter un coup d’œil à ces larges télescopes après la Conférence sur la Sécurité Informatique (SAS 2016). Nous avons pensé que nous pourrions y aller puisque nous y étions, et qu’avec un peu de chance on pourrait s’entretenir avec les astronomes/astrophysiciens, toucher l’équipement et prendre les séries de photos habituelles (où c’était permis, et il s’est avéré que c’était autorisé pratiquement partout :).

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3 EN 1 : HISTOIRE, INNOVATION ET VOYAGE D’AFFAIRES.

Je me suis retrouvé dans plusieurs endroits reculés du monde sur cette planète, mais la plupart du temps ils étaient… prévisibles : capitales mondiales, centres d’affaires, lieux incontournables

Je suis aussi allé occasionnellement à des endroits moins fréquentés. Exemple : Sviyazhsk. Déjà entendu parler ? Probablement non ! Et bien, il s’agit d’une ancienne ville, maintenant un village, situé aux confluents des rivières Volga et Sviyaga.


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Selon notre excellent guide d’excursion (Je me fie généralement plus aux bons guides qu’à ce que dit Wikipedia), l’histoire brève de la ville est la suivante :
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UNE DOUCHE SEXY.

La semaine dernière, j’ai séjourné à l’hôtel Déjà Vu près du complexe de ski Sviyaga de la ville de Kazan (que l’on surnomme la troisième capitale de Russie, après Moscou et Saint-Pétersbourg). Bien que j’aie été seul à séjourner dans ma chambre d’hôtel, la douche était très certainement conçue pour deux personnes. Je dois dire que c’est la première douche  » érotique  » que je vois dans un hôtel où je séjourne. Quelle innovation, et quelle bonne idée !


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https://www.instagram.com/p/BBZolHKuiUQ/?taken-by=e_kaspersky
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UN MOMENT DE RÉPIT, À BERLIN.

Pffffff… Cette semaine a été difficile. Et celle qui vient n’est pas beaucoup plus reposante. Un petit moment de pause et de laisser-aller était donc nécessaire pendant quelques jours entre les deux.

https://www.instagram.com/p/BBGQ6GvuicV/

Heureusement, je me trouvais à Berlin pendant ces quelques jours. Super ! Et je n’avais absolument rien de prévu. Encore mieux ! Je me suis rendu dans cette ville, mais j’avais toujours trop à faire pour pouvoir faire du tourisme.

Voici donc quelques beaucoup de photos de la capitale allemande en réduisant au minimum mes bavardages commentaires habituels. Un peu comme sur Euronews : sans commentaires.


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ZANZIBAR : WUNDERBAR !

Notre voyage en Tanzanie a comporté trois étapes :

  1. L’ascension du Kilimandjaro
    2. Le safari dans la savane
    3. Zanzibar

Ceux qui ont suivi cette minisérie sur la Tanzanie savent que je ne vous ai pas encore parlé de la dernière étape : Zanzibar. Nous y voici donc : l’histoire de la dernière étape de notre aventure en Afrique en janvier 2016.

Nous avons été mis en plein dans le bain dès notre arrivée : nous avons commencé par prendre des photos du magnifique coucher de soleil :
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https://www.instagram.com/p/BA7DPGQuiV3/?taken-by=e_kaspersky

Je dois admettre que je ne savais pas vraiment où se trouvait Zanzibar. Bon, je savais bien que ça se trouvait sans l’océan Indien. Mais découvrir que l’archipel de Zanzibar faisait partie de la Tanzanie a été une véritable révélation pour moi !

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UN APERÇU DE LA VIE DES MAASAIS

Les Maasais sont une tribu africaine semi-nomade qui a presque entièrement rejeté la civilisation moderne pour conserver son style de vie traditionnel. Pour avoir plus d’informations sur eux, vous pouvez consulter Internet ; le texte qui va suivre n’est que celui d’un  » observateur curieux  » qui passait par là.


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Pour 50 $ par voiture seulement, les hommes de la tribu se sont rassemblés et ont réalisé leur salut traditionnel.
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LES LOGEMENTS DIABOLIQUES DE TANZANIE

Bonjour à tous !

Aujourd’hui, je vais vous donner quelques informations sur la façon de s’héberger lorsque l’on fait un safari. Dans la savane africaine : il y a deux options : les tentes ou les hôtels.

J’ai entendu dire que les nuits de safari dans des tentes sont vraiment super. Bien que ce ne soit pas l’endroit le plus confortable qui soit, ces conditions précaires sont compensées par les sons de la nuit qui vous environne : les grognements, aboiements, miaulements et rugissements qui interrompent occasionnellement tout le grouillement et les chuintements de toutes ces superbes créatures sauvages, petites et grandes, qui mangent, chassent, s’accouplent ou s’adonnent à Dieu-sait quelles autres activités de nuit….

Mais nous avons séjourné dans des hôtels.

Alors, à quoi s’attendre dans un hôtel au fin fond de la savane de Tanzanie, à des dizaines voire des centaines de kilomètres de la civilisation la plus proche ? Eh bien, il s’avère que c’est plutôt pas mal ! Les endroits où nous avons séjourné étaient vraiment convenables et avaient tous une piscine et un tas d’autres installations et services sur place. Bien sûr, il y avait des spécificités locales auxquelles il faut s’habituer quand l’on sort de chez soi (comme l’absence de serviettes en papier sur les tables à Londres… bon je diverge 🙂 ).

Parlons donc de ces spécificités.

Ngorongoro Sopa Lodge. Notre premier arrêt pour la nuit, au bord du cratère de Ngorongoro.


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https://www.instagram.com/p/BA38yuEOiUk/

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SAFARI !

Je n’ai passé que deux semaines en Tanzanie pendant les fêtes de fin d’années, mais j’ai tant de choses à raconter ! Et vous, mes chers lecteurs, n’en êtes qu’à la moitié de mon récit.

Après être redescendus dans les plaines depuis le Kilimandjaro, avant d’avoir eu le temps de nous  » acclimater  » totalement, on nous a emmenés… faire un safari en Afrique !

À l’origine, le sens du mot  » safari  » était  » aller tirer sur des animaux sauvages en Afrique « . Et pas nécessairement pour les manger après ou faire quoi que ce soit avec leurs peaux. C’était comme se rendre à un stand de tir… mais avec des proies vivantes. L’eau a coulé sous les ponts et tant mieux : maintenant, ce terme signifie  » regarder des animaux sauvages en Afrique (depuis une voiture ou une jeep) « … et les prendre en photos sous toutes les coutures !


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LES PORTEURS DU KILIMANDJARO.

Alors que nous autres touristes ne portions sur nous que le strict minimum pour satisfaire nos besoins vitaux lors de notre ascension d’une semaine au Kili, le reste des affaires était trimballé par des porteurs locaux qui, au bout du compte, étaient tout à fait contents de cette situation étant donné que le travail paie plutôt bien.

Donc, alors que nous ne portions que nos vêtements imperméables et notre matériel de photo/vidéo, nos porteurs avaient de grands sacs qui contenaient les tentes, les sacs de couchage, les tapis de sol, les denrées, l’eau et toutes sortes de choses. Et en général, ils les portaient sur leur tête.

On nous a dit que chaque porteur portait des affaires des touristes jusqu’à un maximum de 15 kg en plus de ses propres affaires, s’il (c’étaient tous des hommes) en avait. Notre guide nous l’a expliqué ainsi :  » On ne considère pas que 15 kg soit une charge très lourde pour un homme adulte. Et leur tendance à porter les choses sur leurs têtes, c’est parce que c’est comme ça qu’ils ont l’habitude de faire ; c’est plus pratique pour eux « .

Toujours selon la guide,

 » le travail de porteur est très prisé ; ce n’est pas le plus fatigant des travaux et on est relativement bien payé par rapport à la moyenne de la région. Grâce à la politique officielle du parc national qui encourage l’emploi du plus grand nombre de porteurs possible (d’où la limite de 15 kg par porteur), il y a toujours du travail disponible si vous êtes un homme en bonne santé. C’est une excellente politique pour les gens d’ici, même si elle revient un peu cher aux touristes en visite « . 

Nous avons vu l’application de cette politique : environ 30 porteurs ont été assignés à notre groupe ! C’est comme ça que les choses se font dans la région du Kili.

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