SAFARI !

Je n’ai passé que deux semaines en Tanzanie pendant les fêtes de fin d’années, mais j’ai tant de choses à raconter ! Et vous, mes chers lecteurs, n’en êtes qu’à la moitié de mon récit.

Après être redescendus dans les plaines depuis le Kilimandjaro, avant d’avoir eu le temps de nous  » acclimater  » totalement, on nous a emmenés… faire un safari en Afrique !

À l’origine, le sens du mot  » safari  » était  » aller tirer sur des animaux sauvages en Afrique « . Et pas nécessairement pour les manger après ou faire quoi que ce soit avec leurs peaux. C’était comme se rendre à un stand de tir… mais avec des proies vivantes. L’eau a coulé sous les ponts et tant mieux : maintenant, ce terme signifie  » regarder des animaux sauvages en Afrique (depuis une voiture ou une jeep) « … et les prendre en photos sous toutes les coutures !


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TROIS QUESTIONS POUR LES PHYSICIENS

J’ai pas mal marché pendant mon voyage en Tanzanie, lors de l’expédition sur le Kilimandjaro : toute une semaine, en fait.  Cela signifie que j’ai eu énormément de temps, quand je ne bavardais pas avec mes compagnons de voyage, pour contempler, penser et réfléchir à propos de toutes sortes de choses.

Je n’ai pas pensé une seule fois au travail, mais c’est aussi parce que le fait de ne pas penser au boulot était l’un des objectifs principaux de mon voyage. Naturellement, mon esprit s’est donc tourné vers des thèmes non liés à mon travail : la vie et l’éternité, la nature, l’homme, l’univers, et la signification de l’homme dans celui-ci. Je pensais à ce dernier sujet la nuit, en particulier, quand je pouvais voir les étoiles extraordinairement brillantes scintiller dans le ciel. Comme nous étions en montagne, elles étaient beaucoup plus vives que ce que l’on voit au niveau de la mer.

Comme je vous l’ai dit, nous avons passé beaucoup de temps à marcher et donc à bavarder, ce qui comprenait de longues discussions… avec moi-même ! Toutes sortes de pensées ont traversé mes petites cellules grises, comme celle-ci, par exemple :

La lune s’éloigne de la Terre de 3 cm par an (c’est un fait scientifique). Tôt ou tard, la Terre finira par perdre son  » intérêt gravitationnel  » sur la Lune qui deviendra alors un autre satellite du soleil. Il est possible que les trajectoires de la Lune et de la Terre se croisent à nouveau à un certain moment futur, et la Lune redeviendra un satellite de la Terre. Ou peut-être qu’elle entrera en collision avec la Terre ? Il est difficile de calculer cela… mais mes questions spécifiques (qui sont en rapport avec cela) sont plus simples…

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Cela aura-t-il lieu avant que le soleil ne devienne plus grand, plus rouge et plus chaud que maintenant et qu’il avale les planètes les plus proches de lui (Mercure, Vénus et la Terre), ou après ? Qu’est-ce qui arrivera en premier : que la lune revienne vers la Terre ou que le Soleil dévore tout, cette question comprise ?

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LES MEILLEURS RÉSULTATS AUX TESTS POUR LA CINQUIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE !

Plus rapide, plus fiable, plus geek, et bien entendu LE plus modeste…

Oui, vous avez bien deviné, c’est de nous qu’il s’agit, ENCORE UNE FOIS !

Nous venons à nouveau de recevoir le prix du Produit de l’Année du laboratoire de tests indépendant autrichien AV-Comparatives. Être en tête du classement @ AV-C est en train de devenir une tradition annuelle chaque mois de janvier : 2011201220132014, et maintenant 2015! Hourra !

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Maintenant, un peu d’informations sur la manière dont ils choisissent le gagnant…

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LE KILIMANDJARO : UN VÉRITABLE POTAGER

Un voyage en Afrique, c’est l’occasion garantie de s’étonner et se surprendre, quel que soit l’endroit où vous vous rendiez. Nous étions prêts à être étonnés et surpris lors de notre voyage hivernal au Kilimandjaro, mais nous ne nous attendions pas vraiment à ça : des hectares et des hectares de sol fertile où poussent toutes sortes d’arbres et de légumes !

Lors de notre premier jour en Tanzanie, lorsque l’on nous a emmenés de l’aéroport au campement au pied du Kili, sur une route cabossée au possible, nous avons été intrigués par les immenses sapins qu’il y avait partout. Enfin, ces arbres ressemblaient à des sapins…

 

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Les troncs avaient l’air de troncs de sapins, mais les branches… qu’est-ce que c’était ? Je ne sais pas. Une sorte de thuyas.

Mais le plus stupéfiant, c’était tous les légumes qui étaient cultivés : carottes, pommes de terre, courges, courgettes, et plus encore ! Qui l’eût cru ? En Afrique ?

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LES PORTEURS DU KILIMANDJARO.

Alors que nous autres touristes ne portions sur nous que le strict minimum pour satisfaire nos besoins vitaux lors de notre ascension d’une semaine au Kili, le reste des affaires était trimballé par des porteurs locaux qui, au bout du compte, étaient tout à fait contents de cette situation étant donné que le travail paie plutôt bien.

Donc, alors que nous ne portions que nos vêtements imperméables et notre matériel de photo/vidéo, nos porteurs avaient de grands sacs qui contenaient les tentes, les sacs de couchage, les tapis de sol, les denrées, l’eau et toutes sortes de choses. Et en général, ils les portaient sur leur tête.

On nous a dit que chaque porteur portait des affaires des touristes jusqu’à un maximum de 15 kg en plus de ses propres affaires, s’il (c’étaient tous des hommes) en avait. Notre guide nous l’a expliqué ainsi :  » On ne considère pas que 15 kg soit une charge très lourde pour un homme adulte. Et leur tendance à porter les choses sur leurs têtes, c’est parce que c’est comme ça qu’ils ont l’habitude de faire ; c’est plus pratique pour eux « .

Toujours selon la guide,

 » le travail de porteur est très prisé ; ce n’est pas le plus fatigant des travaux et on est relativement bien payé par rapport à la moyenne de la région. Grâce à la politique officielle du parc national qui encourage l’emploi du plus grand nombre de porteurs possible (d’où la limite de 15 kg par porteur), il y a toujours du travail disponible si vous êtes un homme en bonne santé. C’est une excellente politique pour les gens d’ici, même si elle revient un peu cher aux touristes en visite « . 

Nous avons vu l’application de cette politique : environ 30 porteurs ont été assignés à notre groupe ! C’est comme ça que les choses se font dans la région du Kili.

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À L’ATTAQUE DU BARRANCO SAUVAGE !

La montée du mur de lave du Barranco, sur le Kilimandjaro, a été de loin le moment central de notre ascension d’une semaine du volcan le plus haut d’Afrique, après la marche finale vers le sommet via le Point Stella Artois. Grimper là en haut, c’est comme monter sur un cheval sauvage : il est très facile de se faire jeter à terre ! C’est tellement raide… C’est un mur escarpé de 300 m (ou c’est ce qu’on dirait à première impression)…

Le voici :


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LA CONQUÊTE DU KILIMANDJARO

Continuons avec quelques détails à propos de notre expédition au sommet du Kilimandjaro : photos, commentaires, impressions et corrections de quelques croyances communes, mais erronées…

Prêts, feu, go, partez !…
Jour 1 : Lemosho Gate – Mti Mkubwa.

• Altitude : 2400 m > 2800 m
• Distance : 4 km
• Vitesse moyenne : 2 km/h

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Et c’est parti ! Ah, c’est vraiment super d’être en Afrique aux alentours de Noël. Moscou est sous 30 cm de neige, l’Europe de l’Ouest subit un temps humide, froid et triste… Quel endroit propose une meilleure alternative ? 🙂
Nous avons vécu une journée équatoriale bien comme il faut pour nous mettre au diapason de l’Afrique…

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HO, HO, HO : KILIMANDJARO !

Pendant les fêtes de Noël ( » ho, ho, ho « ), qu’y a-t-il de mieux à faire que… d’escalader un volcan en Afrique ? C’est ce que je me suis demandé au mois de novembre de l’année dernière… 

Et six semaines plus tard, j’étais là : au sommet du Kilimandjaro !

 » La première étape du mal des montagnes est l’euphorie : l’individu est enthousiaste, excité, aimable, bavard… presque jusqu’au délire. La deuxième est la léthargie : la personne devient abattue, triste, blasée, silencieuse et apathique, n’a pas envie de parler et n’a pas d’appétit. « 

Ce sont les notes que j’ai prises après le discours que notre guide en Tanzania, O.R., nous a fait peu après notre arrivée dans le pays. Mais je pense qu’elle a volontairement omis l’étape suivante (elle ne voulait pas nous faire peur, après tout) ; alors laissez-moi l’ajouter : La troisième étape fatale : une dégradation rapide de l’état physique et mental… bon, comme O.R., je ne préfère pas m’y aventurer. Je vous dirai uniquement ce dont vous avez besoin si vous approchez de cette troisième étape : un masque à oxygène,  des injections de médicaments et un appel au service médical d’urgence par hélicoptère, le PLUS VITE POSSIBLE !

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TOP 100 : L’ASIE.

Qu’y a-t-il d’intéressant et de recommandable dans mon top 100 sur le reste de l’Asie, en dehors de la Chine et du Moyen-Orient ? Je vous le présente tout de suite…

  1. Taj Mahal, Inde.

Un puissant mausolée de marbre blanc, la tombe de la femme favorite de l’empereur Mughal Shah Jahan. Si vous regardez attentivement sur Google Maps, ici, de l’autre côté de la rivière qui fait face au Taj Mahal, vous pouvez voir les restes des préparations d’un deuxième Taj Mahal. Selon ce que disent les plans, il était prévu de faire un mausolée totalement identique en marbre noir au lieu du marbre blanc. Selon la légende, l’empire Mughal n’avait tout simplement pas assez d’argent à dépenser de manière aussi prodigue pour créer un tombeau surdimensionné, et son padishah (empereur) a donc été renversé par ses domestiques, ce qui a causé l’arrêt brutal du projet du Taj Mahal 2.

C’est un endroit magique, en particulier grâce au contraste entre le monument et la région rurale bien moins princière qui l’entoure. Je recommande vraiment de faire une visite individuelle avec un guide et une minifourgonnette pour ne pas être secoué brutalement comme dans les bus pour visiteurs habituels. Plus de détails ici (images ; texte en russe).


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