septembre 9, 2016
Hydrothérapie – le style genevois.
L’un des lieux les plus intéressants de Genève est le jet d’eau, sur le lac Léman. J’ai dû aller à Genève cinq fois ou plus…, en tout cas moins de 10 fois, d’aussi loin que je me souvienne. Qu’importe, je m’y suis rendu à maintes reprises, mais je n’avais jamais eu l’occasion de jeter un coup d’œil de plus près à la fontaine. Soit à cause du travail ou parce que je n’avais pas le temps. Mais cette fois, c’était la bonne. Le voici, le jet d’eau dans toute sa splendeur.
La puissance de l’eau, le bruit, et le jet sont superbes ! Surtout quand il fait chaud.
A propos, le jet d’eau est chargé d’histoire. La première version a été érigée en 1886, même s’il s’agissait d’une version plus simple et moins imposante. La construction plus moderne date de 1951, wow, ça signifie que le jet d’eau a 65 ans ! Ce dernier est doté d’une puissance de 200km/h et l’eau atteint 140 mètres de hauteur, selon le panneau d’information.
Le panorama :
Voici l’agréable Rhône, qui se jette dans le lac Léman, pour finir sa course dans la mer.
Des collègues de là-bas m’ont raconté que lorsque l’eau est chaude (quand la température atteint plus de 30 degrés), les plus courageux sautent depuis le pont de Genève et se jettent dans le Rhône. Le voici :
Ils sautent comme ci :
Ou comme ça :
Ou de plusieurs façons :
Ensuite, ils nagent vers les plages ou pontons :
Lorsque les écluses sont ouvertes (afin de réguler le niveau de l’eau du lac), l’eau du Rhône commence à s’écouler visiblement plus vite, les gens entassent leurs affaires dans des sacs étanches, les jettent à l’eau et sautent, et se retrouvent à flotter sur la rivière avec leurs effets personnels.
Dommage que je doive m’en aller, et que mon maillot de bain soit dans ma valise qui se trouve dans une voiture garée un peu plus loin sur un parking… Mais le devoir m’appelait, des réunions d’affaires à Milan m’attendaient. Je me baignerai la prochaine fois que je retournerai à Genève un jour où il fera chaud et que les écluses seront ouvertes :).
