LE GUATEMALA, QUEL GALA (DE COULEUR) – 1ère Partie

Le choix de la compagnie aérienne pour effectuer Madrid – Guatemala était une évidence : l’unique compagnie aérienne effectuant le vol sans escale est Iberia. Pourquoi effectuer une correspondance, et encore plus s’il sagit d’une correspondance Nord Américaine ? 🙂

Alors nous sommes allés directement en Amérique centrale …

Le premier morceau de terre de l’autre côté de l’Atlantique que nous avons survolé était Haïti (je crois), puis ensuite la Jamaïque. Au cours de ce voyage, nous avons également survolé le Honduras, et ensuite, ce fut le tour de notre pays de destination – le Guatemala.

Premier aperçu du Honduras

D’ailleurs, pourquoi ce pays se nomme le Honduras ? Vous pouvez trouver la réponse à cette question ici. Il parait qu’il existe deux versions différentes. La première est la suivante :

« En Espagnol, le mot « Honduras » signifie « eaux profondes » ou « profondeurs ». Il s’agit d’un nom un peu particulier pour un pays mais qui correspond pourtant à une histoire toute aussi particulière qui fait que notre pays se nomme ainsi. »

Nous avons atteint votre destination

Tout le monde (qui vit en dehors de l’Amérique centrale peut-être) n’est pas en mesure de situer le Guatemala sur une carte. Tout le monde ne sait pas forcement qu’il s’agit d’un pays d’Amérique Centrale – d’ailleurs, un bon nombre de personnes pensent que ce pays se trouve en Amérique du Sud, mais ce n’est pas le cas. Le Guatemala est la quintessence de l’Amérique Centrale- le pays le plus central d’Amérique Centrale en réalité.

Il se situe parfaitement entre le Honduras, le Salvador, le Belize et le Mexique. Ensuite, au Sud, nous trouvons aussi le Nicaragua, le Costa Rica, le Panama puis la Colombie et l’Équateur.

J’avais déjà survolé ce nid de curiosités de nuit et malheureusement, je n’y voyais rien du tout. Mais cette fois c’était différent :

Volcanisme à l’horizon, ma tasse de thé

Un concurrent du Mont Fuji

Il s’avère qu’il y a 33 volcans ici, dont trois « représentant une menace « , me dit-on.

C’est logique : durant un moment, cette partie du monde avait une forte activité volcanique qui entraina certains épisodes dramatiques. Par exemple, au XVIe siècle, le Volcan de Agua (Volcan d’eau) a détruit la première capitale du pays; et en 1965 le sommet du Pacaya s’est réveillé expulsant violemment ce qu’il contenait et a été constamment en éruption depuis.

Et à présent, c’est au tour de Fuego de terroriser les habitants de la région et de leur créer toutes sortes de problèmes. D’ailleurs, un tremblement de terre a eu lieu la nuit de notre arrivée. Un tremblement de terre dont je ne me suis même pas rendu compte, j’étais certainement plongé dans un profond sommeil à cause du décalage horaire. Je ne sais pas si ce fut une bonne ou une mauvaise chose.

Nous sommes allés sur le Pacaya du Guatemala ; mais pas au sommet – car ça a l’air de bien chauffer tout en haut – juste autour du vieux cratère. Impressionnant. Si impressionnant qu’il mériterait presque la publication de son propre post. Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait beaucoup à dire à propos de cet endroit – mais j’ai manifestement eu tort !

Toutes les photos se trouvent ici.

À très bientôt les amis !…